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Slayer
Reign In Blood
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le 07 Mars 2006 par ERWIN
je cite Latimus: "certains solos sont ratés", ouais man, je te le fais pas dire, on se demande encore aujourd'hui comment Kerry peut figurer dans les référendums en catégorie "guitariste", la catégorie sex symbole -Souvenez vous quand on votait pour Lita ford et Doro- lui aurait mieux convenu, c'est dire!
Cela dit, le personnage a d'autres atouts: il a des gros bras, certes il a perdu ses beaux cheveux brushés mais il a de beaux tatouages, il aime les serpents, il a des gros bracelets cloutés.....
Tout ca pour dire que je soutiens le trés sous estimé Jeff Hannemann.
Quant à toutes ses histoires à la con sur le sujet de "Slayer sont- ils néo-nazis? Ils sont pas clairs!" et autres divagations pour étudiant en première année d'histoire qui vient de découvrir l'holocauste , et Merde...: Arraya est chilien, Lombardo Porto ricain, Kerry cache sous des dehors difficiles un vrai coeur de belle au bois dormant, et Jeff???? il est blond et aryen!!!! Le diable en personne? Bin non mec, son meilleur pote est Rocky Georges ex Suicidal et aussi Black que Bob Marley est cool....
Cessons les amalgames foireux une bonne fois pour toutes. Jeff ou Lemmy ne sont pas des nazis, mais des amateurs d'histoire.
Quant à l'album....Ouais la c'est du tout bon, du grand Slayer
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le 30 Décembre 2005 par TOUFMAN
Ben si c'est l'album le plus abouti de Slayer que vous cherchez, allez plutôt voir du côté de "Seasons In The Abyss".
Par contre, si c'est le Trash Métal intense option j-ai-les-cheveux-longs-je-bouge-ma-tête-à-m-en-péter-les-cervicales qui vous intéresse, vous aurez du mal à trouver plus approprié que ce "Reign In Blood" historique. Pas très fin, pas bien long mais terriblement efficace.
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le 13 Novembre 2005 par LATIMUS
Que dire de plus sur Reign in Blood ?! Pas facile, mais je vais essayer !
Les particularités de cet album sont nombreuses et expliquent certainement son succès : une durée à priori ridicule (moins de 30 minutes !) mais en fait ça passe très bien et on a pas l'impression de ne pas en avoir pour son argent ; des morceaux très courts (sauf le premier et le dernier), très rapides et très intenses, alors que d'ordinaire seuls quelques morceaux sont très rapides sur un album ; un son énorme, bien meilleur que sur Hell Awaits, merci Rick Rubin ; une pochette au goût douteux mais qui correspond bien à l'esprit du disque, etc.
Alors c'est sûr que lorsque ce disque est sorti (1986), il a vraiment marqué son époque, car personne n'avait fait aussi brutal. Mais il sortirait aujourd'hui, il passerait certainement beaucoup plus inaperçu ! C'est ça, être précurseur !
Pourtant, l'album n'est pas "parfait" : un titre est légèrement plus faible (Epidemic), certains solos sont ratés, et Lombardo progressera encore sur les deux albums suivants...
Quant aux paroles d'Angel of Death..., elles ont fait couler beaucoup d'encre. Certes, il ne s'agit après tout que de la "simple" description crue d'horreurs qui se sont réellement produites, ni plus ni moins, des événements qui ne sont pas du fait de Slayer et qu'on ne pourra jamais effacer de l'histoire. Le titre a au moins le mérite de faire en sorte qu'on n'oubliera jamais ces abominations, mais bon, on dirait que le groupe se délecte avec un certain sadisme des faits, et ne les critique pas (il ne les encense pas non plus, d'ailleurs)... S'intéressant de près aux côtés les plus sombres de l'âme humaine, il est après tout presque logique que le groupe parle des horreurs nazies, simplement, sa position aurait pu être plus claire, même si, bien sûr, Araya et Lombardo ne sont pas vraiment des blonds aryens... Araya adore d'ailleurs Bob Marley, et sa femme est d'origine juive... !
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le 25 Février 2005 par ROX
L'hymne du thrash metal tout simplement
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le 05 Août 2004 par JIM
quelque part c'est normal que cet album ne plaise pas à tout le monde, même s'il reste un chef-d'oeuvre dans son domaine.
oui, c'est une pépite du thrash, mais le thrash dans sa version la plus extrême; donc ça ne se compare pas à master of puppets! c'est à dessein que les mélodies sont laissées au placard, les morceaux épurés et réduits le plus souvent à 2 minutes. c'est marrant de voir que plusieurs disent n'aimer que les deux morceaux plus longs. le manque de structure, et surement de repères, vous gêne visiblement. et non, il n'y a pas d'aération, de variation ici, tout est dans l'intensité. donc pas de ralentissement, pas de répétitions superflues d'un même riff, ni même d'un couplet, des morceaux courts. tout ça se veut bien sûr surprenant, oppressant pour l'auditeur (et ça marche...), extrême et brutal.
tout le death metal à venir est annoncé dans ce disque, dont l'influence sera également immense sur la scène black. et s'il n'est plus depuis des lustres l'album metal le plus brutal, on peut en revanche penser qu'il représente un choc dans la brutalité jamais égalé: le battles in the north d'immortal ou le panzer de marduk n'ont pas autant repoussé les standards extrêmes de leur époque que ne l'avait fait reign in blood en 86.
pour moi, ce disque ouvre les portes du metal extrême, rien que ça.
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