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76 commentaires notés [?]
Iron Maiden
Piece Of Mind
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le 15 Décembre 2019 par FINISHERFRANKY
Moi aussi je n'ai jamais bien considéré "Piece Of Mind", complètement inconsciemment. J'étais un grand fan de la période Dianno et bien qu'ayant aimé "The Number Of The Beast", puis adoré finalement, un ressort était cassé. D'ailleurs c'était ma copine qui l'avait et je ne l'écoutais que chez elle, occasionnellement. La pochette me déplaisait fortement. Cette suite de dessins me fatiguait déjà. Puérils. Même dans mon rachat des CD remastérises de 1998, je ne l'ai pas pris. Et c'est injuste, parce que dès "Where Eagles Dare" je retrouve le punch des deux premiers albums, et le clou est enfoncé avec "The Trooper", tellement imprégné de l'esprit des débuts, ce mix unique entre ton épique apuré, sans donjon ni dragons, simplement suintant d'urbanité banlieusarde. Ah si Dianno y avait chanté ! "Still Life" possède aussi cet esprit mais "Revelation", "Flight Of Icarus" et les autres ne réussissent pas cet équilibre avec des mélodies trop marquées au fer médiéval à mon goût.
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le 13 Décembre 2019 par CAZA
Je réagis à la dernière critique en date et notamment ce point :
"Ah "Piece Of Mind". Régulièrement présenté ces derniers temps comme le maillon faible de la période dorée d'IRON MAIDEN. Réécrire l'Histoire n'a jamais autant semblé à la mode…"
Je n'ai pas écouté cet album à l'époque, juste dix ans plus tard (donc début des années 90) et déjà :
"Iron Maiden" me séduit
"Killers" me fait bondir par son énergie
"The Number Of The Beast" et sa tripotée de tubes, c'est la joie (y compris "Gangland" et "Invaders" MAIS PAS "Total Eclipse", total ennui)
"Powerslave" c'est l'âge d'or
"Somewhere In Time" c'est un voyage de science fiction
"Seventh Son..." c'est le groupe qui devient aventureux et n'a jamais aussi bien maîtrisé la sophistication
Alors Piece of mind m'a toujours évoqué, presque trente ans plus tard, une demi-molle, avec beaucoup de qualités, certes évoquées dans la chronique, mais c'est l'album dont je peine à saisir la personnalité (à part "niché quelque part entre "Number..." et "Powerslave" en étant indécis sur la direction à prendre").
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Par Nightfall In Metal Earth
Intéressant car je ressens aussi cette phase entre la sauvagerie de "NOTB" et les albums suivants plus sophistiqués. N'empêche que stylistiquement, ce que propose IRON MAIDEN sur "Piece Of Mind" n'est pas franchement différent de ce qu'il fera sur "Powerslave" en fin de compte.
Cordialement,
Jeff Kanji
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le 13 Décembre 2019 par FRED
Après l'album de transition un peu maladroit que constitue "NOTB", le nouveau MAIDEN trouve enfin sa voie (et sa voix !) dans ce qu'il convient d'appeler le Metal "épico-progressif". Dickinson effectue ici sa prestation la plus mémorable, avant que sa voix ne soit bientôt irrémédiablement abîmée par les concerts, et nous rassure quant à ses capacités (provisoires) par rapport à sa prestation très contestable de l'album précédent, sur lequel il n'était pas toujours à sa place sur des compositions formatées pour le regretté Di' Anno.
La production est enfin adaptée au style, et le son brouillon et sans nuance de "NOTB" ne semble plus qu'un mauvais souvenir. Le groupe et Martin Birch ont su redresser la barre et tirer les leçons de l'échec artistique partiel du précédent disque !
On notera l'apport inespéré de Mac B(r)ain à ce nouveau son et on louera le fait que Burr ait été exclu du groupe, tant il aurait été à la peine sur ce disque, comme le démontre avec brio l'excellente partie de batterie du magnifique "Where Eagles Dare". Le batteur est indiscutablement le moteur du nouveau son du groupe !
Ici, pas une composition n'est de trop et les classiques épiques s'alignent les uns après les autres avec une évidence qui tient de la magie, comme le démontre "To Tame A Land", le meilleur instrumental jamais composé par MAIDEN, dont le superbe climat n'a jamais été égalé depuis par la bande d'Harris jusqu'à "The X Factor".
L'ensemble baigne dans une atmosphère sombre et menaçante, renforcée par la plus belle et luxueuse pochette du groupe à ce jour, les plus anciens se souviendront d'ailleurs de la pochette double du vinyle qui s'ouvrait sur une magnifique photo du groupe attablé dans un château devant un mets très particulier.
Il est à noter que c'est l'album préféré d'Harris jusqu'au (on se demande un peu pourquoi) peu enthousiasmant "Seventh son…". Seul le mésestimé "X Factor" parviendra à la hauteur de ce disque, qui reste le seul vrai chef d'œuvre de la période Dickinson et qui a servi de déclencheur à toute la scène américaine de FATES WARNING ou SOLITUDE AETERNUS.
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Par Nightfall In Metal Earth
JE valide exceptionnellement ton commentaire pour pouvoir te répondre Fred :
Nous ne pouvons valider plusieurs de tes commentaires notant l'album, car ce faisant tu fausses la moyenne des lecteurs. Tu peux tout à fait disserter sur le disque plusieurs fois, mais pas en le notant à chaque fois, à moins que ton jugement ne change drastiquement.
Cordialement,
Jeff Kanji
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le 04 Décembre 2019 par ELRIGO
Moi aussi j'ai tiqué sur le "médiocre To Tame A Land"... un morceau que j'affectionne particulièrement !
Mais finalement, mon goût n'est-il pas influencé par la qualité indiscutable de l'oeuvre qui l'inspire, le Dune de Frank Herbert ?
Non quand même, "médiocre", c'est abusé...
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Par Nightfall In Metal Earth
Je valide mais stop aux commentaires uniquement ciblés sur le fait que Metalingus n'aime pas "To Tame A Land". Je rappelle au passage qu'il s'agit d'une KroX, un format plus libre pour nous chroniqueurs : on peut parfois rédiger une véritable seconde chronique, mais aussi se contenter d'un avis relativement court et moins étayé. Nos appréciations sur certains titres sont parfois moins développées et expliquées notamment dans ce contexte de la KroX. Et après, on va le répéter pour la énième fois : ce n'est qu'un avis ! Vous pouvez bien sûr tout à fait dire que vous appréciez particulièrement ce morceau, mais il est plus agréable et intéressant que vous argumentiez sur l'ensemble de l'album.
DS
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le 30 Novembre 2019 par RAE
"To Tame A Land", médiocre ?
Aucun crédit sur ta pseudo-critique Metalingus.
Bisous quand même.
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