 |
|
Moyenne établie
sur la base de
25 commentaires notés [?]
Gamma Ray
Somewhere Out In Space
| |
|
Page 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 |
|
le 15 Février 2013 par VAARN
Ça ne passe pas, une production abrutissante, des compositions sans inspiration et un Kai Hansen décevant au chant comparé à son travail sur le précédent album.
Malheureusement "Powerplant" ne relèvera pas la barre et tout ce qui suivra est du même tenant.
R.I.P. GAMMA RAY.
|
|
|
|
|
le 13 Septembre 2010 par KYRADIS
J'adore cet album, c'est mon favori de la bande à Hansen. Même s'il peut paraître longuet, je trouve qu'il tient bien la route, et qu'il remplit son rôle à merveille, à savoir, on passe un excellent moment en l'écoutant.
Les titres comme "Somewhere Out In Space", "Guardians Of Mankind" ou encore "Beyond The Black Hole" (que j'affectionne tout particulièrement) sont des classiques du groupe. D'autres morceaux ne sont pas en reste, comme "Lost In The Future", avec son break western, "Watcher In The Sky", ou "Shine On/Rising Star" (des merveilles à mon sens).
|
|
|
|
|
le 05 Juillet 2010 par LUDOVICO
Plus je vieillis et plus j’ai du mal à apprécier les albums de Speed Mélodique.
66 minutes de double-grosse caisse quasiment ininterrompue où se superposent la basse, deux guitares ainsi que des nappes de claviers et la voix de Kaï Hansen. Aucune respiration tout au long de "Somewhere Out In Space". Et 15 titres, ça fait long.
Je ne remets aucunement en cause les compétences techniques des différents membres du groupe, ni leur capacité respective à composer des morceaux qui sont bien ficelés, mais en écoutant cet album, on a la très nette impression d’un retour en arrière axé sur "Walls Of Jericho" avec une production qui a considérablement évolué.
Je préfère les premiers albums de GAMMA RAY avec Ralf Scheepers que je trouve supérieur à Kai Hansen et où leurs morceaux étaient beaucoup plus variés que sur cet album.
Certains passages de plusieurs titres comportent des lignes mélodiques intéressantes mais elles sont de trop courtes durées et augmentent le sentiment de frustration engendré par cette double pédale infernale.
Un album que j’avais aimé à l’époque mais beaucoup moins aujourd’hui parce que les titres sont immatures. De plus cet album ne résiste pas au passage du temps et ça c’est beaucoup plus grave.
|
|
|
|
|
le 16 Juillet 2009 par LIGHTCHILD
Après le quasi parfait "Land of the Free", GAMMA RAY nous pond "Somewhere Out In Space", album qui n'a pas l'éclat de son prédécesseur.
Sur ce disque, seulement 5 titres se démarquent. En effet, "Beyond the Black Hole", "Men, martians and machines", "No Stranger (Another Day in Life)", "Somewhere Out In Space" et "Watcher In The Sky" sont excellentes. Du grand GAMMA RAY.
Quant au reste, c'est moyen voir carrément mauvais. "Valley of the Kings", "The Winged Horse" et "The Guardians Of Mankind" sont sympas mais sans plus. "Pray", "Lost In The Future" et "Shine On" sont des titres auxquels je n'ai pas du tout accroché. Et les interludes que sont "The Landing", "Cosmic Chaos" et "Rising Star" s'avèrent complètement inutiles !
Un album en demi-teinte. Mais quand on sait que 2 ans plus tard sort la bombe "Powerplant", Kai Hansen est tout pardonné !
|
|
|
|
|
le 29 Mars 2009 par KID66
Somewhere Out In Space est le seul album de GAMMA RAY période Hansen que je n’ai pas adoré dès ma première écoute. Loin d’être déçu pour autant, le milieu de l’album me paraissait manquer légèrement de saveur (« Guardians Of Mankind », « Pray », « The Winged Horse », « Lost In The Future »). Heureusement, cet opus éblouissant m’a rapidement rattrapé.
Je trouve que le début de l’album est tout bonnement époustouflant. Les 4 premiers titres dégagent une puissance phénoménale et sont d’une classe rare : « Beyond The Black Hole » (grandiose), « Men, Martians And Machines » (excellent), « No Stranger (Another Day In Life) » (magnifique), « Somewhere Out In Space » (superbe). De plus, je trouve que ces 4 titres rendent tellement bien l’ambiance de science-fiction qu’ils nous font voyager. GAMMA RAY arrive à mettre dans ces morceaux une intensité tragique qui me fait toujours frissonner.
Le nouvel arrivant, Henjo Richter (que j’aime beaucoup), s’essaie à la composition avec deux bons titres : « Guardians Of Mandkind » (légèrement symphonique) et surtout « The Winged Horse » (avec son intro excellente à la Keeper II). On voit déjà la patte de ce brillant compositeur, même si ses deux morceaux sur Powerplant seront autrement plus exceptionnels.
Le génial interlude « The Landing » et son ambiance de taré nous amène au tube intemporel de l’album : « Valley Of The Kings ». Cette chanson est absolument excellente, et je tiens à rendre hommage à un moment que j’adore particulièrement : le break avec les chœurs juste après le solo et juste avant le refrain final.
« Pray », souvent critiquée, est la ballade de l’album ; eh bah je la trouve superbe. Kai excelle et nous gratifie de superbes lignes de chant pour un très bon moment. « Cosmic Chaos » ne sert vraiment à rien et introduit le moins bon morceau de l’album : « Lost In The Future », un titre assez dispensable, bien que pas mauvais non plus.
Remontée fracassante avec la tuerie « Watcher In The Sky », son break bourrin et son final atmosphérique jouissif, puis on arrive à la pièce épique de l’album, introduite par un bel instrumental « Rising Star » : « Shine On ». Ce n’est pas un chef d’œuvre de Kai Hansen, comme « Rebellion In Dreamland » ou « Armageddon », mais un chef d’œuvre de Dirk Schlachter ! Un Morceau superbe du début à la fin, qui ne me laisse qu’un seul léger regret : j’aurais aimé que les gratteux s’expriment plus au niveau des soli… Tant pis !
Somewhere Out In Space est l’album de la période dorée du groupe (1994-1999) le moins apprécié, mais il n’en reste pas moins excellent. Je le place à égalité avec Land Of The Free, car ce dernier a pour lui « Rebellion In Dreamland » ; Powerplant est un cran au dessus.
|
|
|
|
| |
