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Opeth
Ghost Reveries
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le 26 Avril 2016 par CLANSMAN57
Le premier album d'OPETH que j'ai acheté.
Holy Records en faisait des éloges, comme pour tous leurs articles à bien y réfléchir, ils ne disaient jamais rien de négatif au sujet de leurs disques...
Normal, ils voulaient vendre.
J'étais charmé par OPETH lorsque j'ai entendu pour la première fois "The Drapery Falls" sur un sampler.
Une version "edit" en plus...
Mystique, planant, beau, les parties acoustiques mélangées aux parties Death me présentaient quelque chose d'inédit...
J'étais intrigué.
Donc bien des années plus tard, je me suis décidé à investir dans cet album, qui était le nouveau à l'époque.
J'avais pas aimé.
Puis j'ai aimé.
Ensuite j'ai découvert le reste de leur disco.
J'étais partagé au sujet de ce disque après ça.
Bref, je l'ai réécouté, je le trouve tout simplement pas bon.
Le pendant Progressif est davantage mis en avant, les riffs sont plus syncopés et ça ne leur va pas.
Per Wiberg apporte une coloration rock 70's avec ses claviers, c'est sympa.
Akerfeldt, lors de certaines parties en chant clair, propose ses pires lignes de chant, laides à faire fuir.
"Ghost Reveries" n'a pas vraiment d'ambiance propre, un manque de cohérence se fait ressentir (défaut présent sur "Orchid" qu'ils avaient pourtant gommé très vite...)
Je ne m'évade pas, c'est pour la première fois très convenu, malgré quelques jolies parties.
Les trois premiers titres n'apportent rien, "Atonement" se fait mystico-orientale, mais c'est vite gavant...
"Harlequin Forest" comporte un bon solo.
"The Grand Conjuration" est nulle.
Bref, un disque qui manque cruellement d'émotions et de saveurs.
A éviter.
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le 13 Janvier 2015 par ZVLORG
Dans mon top 3 d'OPETH, avec "Still Life" et "Deliverance" ! Une chronique que je trouve sévère pour un album aussi grandiose, pétri de merveilles dont je ne me suis jamais remis, telles "The Baying Of The Hounds", "Beneath The Mire" ou "Reverie"/"Harlequin Forest", certes c'est long mais toujours pertinent, chaque moment offre un réel plaisir, des riffs dévastateurs aux délicieux passages planants (Wiberg apporte un vrai plus !), bref un sommet incontestable du genre progressif, à ranger aux côtés des "Close To The Edge", "Dark Side Of The Moon", "Metropolis Part 2: Scenes from a Memory" (oui, fan de DREAM THEATER invétéré !) ou "In The Court Of The Crimson King" !
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le 23 Novembre 2011 par ZEJACK
"Quand là-dessus vous placez un chant clair étonnamment hors de propos, vous jetez à la poubelle la moitié de "Ghost Of Perdition", la totalité d’"Atonement" et "The Grand Conjuration"".
Zut, tu jettes pour moi 2 des meilleurs titres de l'album.
Comme quoi question de goût certainement.
Personnellement, mon histoire avec le groupe commence là donc je ne serai pas objectif (je n'ai que peu écouté "Blackwater Park") mais je trouve cet album vraiment intéressant notamment pour les atmosphères qu'il développe. Et dans ce domaine, "The Grand Conjuration" est un must avec ce gimmick de 3 notes sur les "couplets" incroyablement simples mais si évocateurs.
Cette galette contient de grands moments pour moi mais malheureusement contrebalancés par d'autres nettement plus dispensables comme "Reverie/Harlequin Forest"
Non, à mon avis, le défaut majeur d'OPETH est qu'à trop vouloir imbriquer des structures complexes, beaucoup de ses morceaux perdent en cohérence et en impact.
Mais c'est ce qui fait son charme...
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le 15 Novembre 2010 par GNARK
Biiiiip ! Carton rouge !
L'album le moins bon d'OPETH ! Aïe aïe aïe ! Malheur !
Cet album sonne comme un coup d'épée dans l'eau. Ça ne sert à rien, on ne retient rien et on s'épuise à l'écouter.
Y'a pas d'émotions dans cet album. Les plans s'enchaînent et se succèdent... bwof.
Sinon, c'est bien fait, c'est bien produit. Mais, voilà ce n'est pas à mon goût.
Pourtant j'ai donné sa chance à ce disque... Mais depuis il n'a pas bougé de mon étagère et je pense pas qu'il bougera avant longtemps.
Le trône d'OPETH vacille pour la première fois... Enfin, de mon point de vue !
note : 2/5.
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le 01 Septembre 2010 par INHUMAN
Roadrunner...commercial....vendus....djeunz....bla-bla-bla.
C'est pourtant le même type de raisonnement qui me traversa l'esprit quand j'ai su que OPETH posait leurs valises chez eux.
Roadrunner...OPETH...quelque chose ne colle pas.
Et une fois le disque en main, peu de changements se profilent, le groupe est resté fidèle à sa ligne de conduite. Le clavier s'insère parfaitement dans les compositions, Äkerfeldt est toujours aussi renversant quand il s'agît de changer de registre vocal. Lopez fait quant à lui preuve d'une finesse rare dans son jeu.
Encore une fois, les compositions sont riches, quoi que moins alambiquées, mais pas forcément plus directes non plus. Impossible d'en faire le tour rapidement, ce disque est-il adapté au public de prédilection du label ? Pas sûr.
Plus de peur que de mal, la musique d'OPETH se révèle toujours aussi sombre, complexe, insondable. Pour autant, je ne peux pas le placer au même niveau que ses illustres prédécesseurs, ce n'est pas l'envie qui manquerait mais sincèrement je pense que "Blackwater Park" et "Still Life" sont un cran au dessus.
L'essentiel est tout de même là, OPETH a conservé le cachet si particulier de leur musique, l'aspect progressif se voit empiéter davantage sur le terrain de l'extrême mais qu'importe.
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