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26 commentaires notés [?]
Mercyful Fate
Don't Break The Oath
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le 01 Mai 2009 par VERRUE
Weurk, quelle mocheté cet album quand même... à chaque fois que je veux lui redonner sa chance, guidé par sa réputation inébranlable, j'en reviens au même constat : tous les défauts récurrents du heavy se retrouvent ici. En première place, le chant laid à en crever (je pèse mes mots), puis les chansons trop longues et ramollies par des structures mal pensées, et les soli aussi interminables que kitch et fades. je veux bien dire que certains riffs sont sympa, mais c'est toujours la même chose, faut toujours que ces glandus se sentent obligés de caler des instrumentations pas belles, juste pour montrer qu'ils jouent bien.
Pour ce qui est de la prétendue noirceur de cet album, avec toute la bonne volonté du monde, je dois dire que je la cherche toujours... Tout ce que je trouve c'est un album ancré dans les codes du heavy de l'époque, c'est à dire un accumulation de titres joyeux et énergiques, qui évoquent plus la fête et les grosses motos que l'angoisse existentielle. Et ce chanteur...
Pff je crois que je comprendrais jamais rien au heavy, y'a rien à faire. Croyez moi, j'en suis le premier désolé.
Je mets quand même 2 grâce à Gypsy qui est fun et que j'arrive à apprécier, parce que c'est le seul morceau où on sent que le groupe assume pleinement l'aspect humoristique et niais de sa musique...
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le 24 Mars 2009 par AERONTH
Et voici nos cinq Danois scandinaves (ou pas.) qui continuent leur périple sur leur drakkar (ou pas.) maléfique (ah oui, ça c'est certain par contre).
Melissa était excellent, mais que peut-on dire de Don't Break The Oath ? Le premier titre à lui seul m'a bloqué pendant plusieurs semaines. Les envolées du King sont plus encore maîtrisées et surnaturelles que sur le précédent opus. Sans perdre de son mordant, MERCYFUL FATE est devenu ici plus riche et touche au génie.
Difficile de formuler la moindre critique sans couper les cheveux en quatre. Plus encore que l'indéniable qualité musicale de ce disque, c'est son ambiance qui lui donne sa majesté. Je me demandais quel groupe un géant tel qu'EMPEROR avait bien pu reprendre pour son bonus track sur In The Nightside Eclipse. Qui l'avait guidé sur les sentiers sombres.
Maintenant je sais, et je comprends enfin. Illumination qui vaut une place de choix dans mes disques préférés du Heavy Metal (qui se comptent sur les doigts d'une main non amputée).
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le 31 Janvier 2009 par ECO_CHARLY_B
Je rédécouvre des albums que j'étais trop petit pour apprécier à l'époque.
Si je replace cet album à l'époque (1984), j'ai l'impression que c'était tout simplement révolutionnaire. C'est très mélodieux, technique, progressif.
Par contre la voix de King Diamond m'irrite. J'essaie de me concentrer sur les passages instrumentaux et je dis tout simplement bravo. Quelques harmonies de guitares me font penser à Iron Maiden (dont j'étais fan à l'époque). Si je dois m'attirer les foudres des fans de la vierge de fer, à année égale, Piece Of Mind manque cruellement d'inspiration et de technique face à cet album.
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le 30 Novembre 2008 par DREAMER_DECEIVER
Nous sommes visiblement dans la dithyrambe avec cet album.
Il va m'être dur de m'aligner quitte à m'attirer les sorts maléfiques des adorateurs du Roi Diamant.
Un mot sur la pochette, particulièrement fascinante.
Ce démon gigantesque émergeant d'un monde de flammes, pointant un terrible index accusateur sur l'auditeur terrorisé, le message est clair,
"Ne brise jamais O petit homme, faible mortel, le serment qui nous lie par delà la fin de ta fragile existence terrestre ".
Bref tout ce que doit être le véritable Metal pour moi, ténébreux, menaçant, ésotérique et non aligner les clichés harley/pétasse à gros seins.
La musique à présent, premier morceau "dangereux" qui me scotche au mur avec sa structure complexe, sa voix éthérée, sa mélodie suintante de feeling s'insinuant en moi comme un poison vénéneux.
Je dois cependant avouer que la suite me plait moins.
Bien sur le son des guitares est l'ENORME point fort du disque, à la fois véloce et mélodique, Hank Sherman (comme le tank du meme nom ? ) étant sans doute l'un des plus brillants guitaristes de heavy metal qui aient vu le jour.
Avec lui le chevelu en a pour son pognon et peut tranquillement se démettre quelques cervicales en headbangings sauvages pour la Juste Cause.
Moi c'est systématique le style de chant haut perché de King Diammond me fatigue toujours à l'usage avec ses incessantes variations, aussi me faut il m'accrocher sévèrement pour ne pas décrocher en cours de route lors des longs voyages sinueux proposés sur ce disque.
Alors "Dont break the oath" est donc aussi pour moi un album riche et musicalement abouti, avec son heavy aristocratiquement racé, le plaçant dans la catégorie des très grands ...mais malgré cette débauche d'énergie créative musicale, je ne parviens pas à adhérer franchement aux morceaux ultra complexes, s'étirant à l'infini, manquant peu d'être d'impact et à ce style de chant que je trouve stéréotypé et fatiguant à longue.
Par exemple "The oath" est un bon morceau mais les 7'31 deviennent un vrai puit d'ennui au bout d'un moment et c'est pratiquement vrai pour tous les morceaux à l'exception notable de l'ultra accrocheur et définitif
"Come to the Sabbath".
Ce sera donc un 3,5/5 pour moi et un bon album pour les fous de guitares dont bon nombre d'entre vous doivent assurément faire partie.
PS Pensez vous que King Diamond pousse son caddy de supermaché avec cet accoutrement "effrayant" ? Un petit mec avec du bide, des ailes de chauve souris et une voix de castra chez Auchan ça devrait le faire au rayon charcuterie ! hiiiiiiiiiiiii yaaaaaaaaaaaaa !!!
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le 22 Décembre 2007 par DIDIER
La remasterisation de Melissa gomme quand même un peu les différences de son je pense. Un des rares remasters indispensable d'ailleurs, si on compare au grand nombre de ratages (Master of reality de BS, Seven Churches de Possessed;...)
5/5 pour Don't break the oath
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