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32 commentaires notés [?]
Dream Theater
The Astonishing
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le 26 Avril 2016 par MIKE PORTEKOI
Je ne peux pas dire que je suis déçu, puisque je n'en attendais rien ... Depuis "A Dramatic Turn Of Events", il n'y a pas grand chose à garder dans les albums de DT, mais là, c'est vraiment le néant total, de l'ennui profond du début à la fin. Bon, je ferai quand même l'effort d'écouter le prochain ... Si j'ai du temps à perdre ...
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le 26 Avril 2016 par TENARDIER
"Bien évidemment, comme les opéras classiques, la perception de la musique ne suffit pas à saisir l'essence et à ressentir toute la dimension tragique ainsi que la complexité de l'intrigue qui mêle aux considérations musicales des préoccupations sur l'évolution des sociétés et une critique des systèmes politico-économiques tels qu'ils apparaissent de plus en plus clairement aujourd'hui."
Oscar 2016 de la phrase la plus ridiculement pompeuse et mal écrite. Entre les fan-boys, les obsédés du versus objectivité/subjectivité et ceux qui s'imaginent que leur avis vaut de l'or (à mon avis, le chroniqueur qui a fait cet essai grandiloquent rentre au moins dans deux cases), je comprends pourquoi je ne vais plus voir votre site. Il est aussi intéressant que les groupes les plus anodins que vous chroniquez.
18/5
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Par Nightfall In Metal Earth
Bien évidemment, comme les commentaires désagréables en général, la perception de tes mots ne suffit pas à saisir l'essence et à ressentir toute la dimension tragique ainsi que la complexité de l'intrigue qui mêle aux considérations philosophiques des préoccupations sur l'évolution de certains lecteurs et une critique des systèmes comiquo-sarcastiques tels qu'ils apparaissent de plus en plus clairement aujourd'hui.
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le 26 Avril 2016 par ED VAN PETTRUCI
Appréciant beaucoup les avis des autres concernant la musique, surtout lorsqu'ils sont différents du mien, j'ai étudié beaucoup de commentaires élogieux concernant cet album. Je l'ai ensuite écouté à nouveau attentivement en essayant de comprendre, mais non il n'y a rien à faire, je persiste à le trouver ennuyeux au possible. Pourtant j"écoute ce groupe depuis 20 ans et ai suivi toute leur évolution. Je suis fan même si je trouve que James Labrie est un piètre chanteur, et que les solos inutiles de Jordan Rudess me saoulent (je suis admiratif en revanche du virtuose qu'il est). John Petrucci en revanche fait partie de mes guitaristes préférés avec Eddie Van Halen, et Greg Howe. Je précise que ce n'est pas le coté (pop) rock de l'album que je critique, car des groupes comme Muse, U2, Radiohead me plaisent beaucoup. Non le problème c'est que cet album est insipide. Pas un riff, pas une mélodie, pas un solo ne m'hérisse le poil. Mike Mangini a laissé le feeling aux vestiaires et à nouveau John Myung est trop discret (alors qu'il est un des bassistes les plus intéressants dans le style). Bref depuis Black Clouds... le groupe continue sa lente dégradation. Je pense que Portnoy apportait un plus dans les compositions, en plus d’être un batteur plus fun. Pour revenir à The Astonishing aucun morceau ne me donne envie d"appuyer sur repeat, ce qui est une première me concernant pour un album de Dream Theater.
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le 25 Avril 2016 par MEGAPHANE
Trop long, trop long, trop long....
Qu'il est pénible cet album, impossible de l'écouter d'une traite. Je n'en ai rien retenu, et je n'ai carrément pas envie d'y retourner, histoire de lui donner une seconde chance.
DT a voulu un projet ambitieux et s'est vautré. Même pas sûr qu'en coupant dans le gras, même beaucoup, on obtienne quelque chose de digeste. Loupé sur toute la ligne.
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le 25 Avril 2016 par SWISSIDOL
Sacré pavé que ce nouveau DT ! Extrêmement dense et très étonnant de par les mélodies qui émaillent "The Astonishing". Il y a presque overdose de douceurs, de sucreries.
Moi qui trouvais "Train Of Thought" beaucoup trop sombre et Heavy, ce nouvel album est l'anti-"Train Of Thought" par excellence. Beaucoup de titres lents, calmes, presque mièvres par instants.
Pourtant, malgré ce trop plein de gentillesses, la magie opère. Oh, tout n'est pas parfait : pas assez de folie dans le jeu de Petrucci, pas assez de basse, pas assez de...Mike Portnoy (non, je ne m'en remets pas). En revanche, Rudess est sobre et ça fait du bien.
Un album à part pour DT et forcément marquant de par la quantité de boulot (de qualité) fournie.
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