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Moyenne établie
sur la base de
32 commentaires notés [?]
Dream Theater
The Astonishing
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le 22 Mai 2016 par ASTéROïDE
Pour ma part franchement imbuvable. Et j'avoue être très étonné (ça doit être ça le concept du titre de l'album !) par les divergences d'opinions radicales concernant cet opus.
Est-ce que quelqu'un a déjà vu au cours de ces dernière décennies un tel clivage ? Parfois pour les critiques ça oscille entre moyen et nul, parfois entre moyen et excellent, parfois c'est moyen, nul ou excellent tout court. Mais là ? Moi aussi je réécoute l'album après lecture de critiques dithyrambiques et... ben non. Je ne comprends pas. Ce disque ne présente, pour moi, pas l'ombre d'un intérêt si ce n'est de pousser le concept de la nausée musicale à son comble. Un peu comme le lulu de METALLICA mais qui lui arrive à vous faire vomir direct et devenir allergique à la musique pendant des mois. Là ça joue, OK ! Mais qu'est ce qu'il ont voulu faire à la fin ?
Le mystère de la décennie, probablement !
PS : je trouve la chronique certes moyenne : le Jeff a déjà fait nettement mieux ! Mais RESPECT aux chroniqueurs, merde quoi ! Vilain Ténardier, tu portes bien ton pseudo ! Va faire chier Cosette, on sait comment tu vas finir...
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le 19 Mai 2016 par ARP2600
Il est bon d'avoir une telle divergence entre Forces Parallèles et NIME, cela montre à quel point ce disque divise. Mon avis a été émis en détail sur FP, et il n'a pas changé d'un pouce depuis que j'ai écrit cette chronique. Moi aussi, je connais bien le genre opéra (de Monteverdi à Britten), ainsi que la plupart des influences prog de DT, et ma conclusion est tout autre...
Décidément, je ne peux pas comprendre où on voit de la complexité ici, et encore moins de la diversité. Oui, je reproche cette pléthore de plages, qui sont surtout des ballades (mid-tempo est gentil...). Mais ce n'est pas l'argument principal, pour moi, c'est la composition musicale et le jeu des musiciens qui sont au ras des pâquerettes, ainsi que ce style si ridicule et écœurant qu'il m'est difficile de juger s'il y a de la musicalité ou non... Avec un tel blocage au niveau musical, même avec un concept en béton, il m'est impossible de m'intéresser aux détails de l'histoire...
C'est mon avis, partagé par - simplifions - une moitié des commentateurs des deux sites. L'autre moitié semble avoir été très séduite par ce projet, et je fais tout de même confiance à la culture et au jugement de Jeff Kanji... c'est un cas très curieux, décidément.
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le 18 Mai 2016 par CLEM
Tout comme pour le dernier RHAPSODY, j'ai écouté cet album sans lire auparavant aucun commentaire, sachant comment DT peut diviser aux extrêmes.
Et je suis content de voir cet album en Sélection de NIME.
Sur cet album qui a dû une nouvelle fois demander un travail monstrueux, on sort du Métal, c'est vrai. Pas de solo de 5 min, pas de gros riffs métal monstrueux, bref, c'est pas la guerre ! Mais c'est beau !
Comment je sais qu'un album est réussi (pour ma part) : quand j'y reviens. Point.
Et je ne sais encore dire pourquoi, mais j'ai régulièrement envie de remettre ces deux disques dans ma platines. Certes, c'est long, mais comme c'est un enchaînement de titres relativement courts, voire très courts, je ne m'ennuie jamais. Certaines mélodies reviennent, mais c'est pour le plaisir.
Mention spécial à James Labrie : ce disque est pour lui. Les autres s'effacent, et son chant colle parfaitement, comme si c'était son disque, sa vie, ses chansons.
Un excellent album, pour ma part, qui restera dans ceux que je préfère.
Je mets 4/5 pour le laisser derrière "Metropolis Part II", mais franchement il frise le 5/5.
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le 01 Mai 2016 par BOB LE GORON
C'est la première fois que je poste un avis sur ce site. Je suis plutôt du genre à garder mon avis pour moi. Mais quand je vois que ce nouvel album de DREAM THEATER se fait autant massacrer, je ne peux pas rester sans rien faire.
J'aime cet album... Dès la première écoute je suis tombé complètement amoureux. Je ne comprend pas les critiques qui lui sont faites. L'album est à part dans la discographie du groupe. Il s'éloigne de toutes racines Metal pour offrir quelque chose de plus calme. Les ballades sont nombreuses, les violons, le piano et les chœurs (même gospel) sont très très présent. Petrucci joue beaucoup sur guitare sèche. Il s'en dégage quelque chose de très simple comme si le groupe souhaitait revenir aux racines de la Musique.
Ces morceaux sont en opposition avec des interludes qui ne sont qu'une succession de bruits électro s'étalant sur quelques dizaines de secondes. Ces derniers ne sont là que pour servir le scénario, pour étoffer l'univers.
Le scénario parlons en... Il est manichéen c'est vrai mais ça, on s'en fout en fait. Ce qui compte c'est la manière dont il est raconté.
Chaque personnage dispose d'un thème musical spécifique. Le héro, l'antagoniste, l'ami, la copine etc etc... Chacun de ces thèmes est à son tour modifié par le prisme des différentes émotions : la peur, la joie, la colère, le doute. C'est ce que beaucoup de personnes voient comme de la répétition je pense.
C'est là qu'on touche la véritable particularité de l'album. C'est une pièce de théâtre avec son découpage en acte, ses personnages et ses actions. Ce n'est pas comme un "simple" album(j'insiste sur les guillemets). La narration se fait au travers de la musique, du narrateur et des instruments.
Côté compos, j'en retiens énormément mais mes favorites sont "Dystopian Overture" et "2285 Entr'acte" qui ouvrent chacun leur propre cd, "Brother can you hear me ?" marquant le début du combat pour tous les personnages (et que l'on retrouvera à la toute fin de l'album comme pour boucler la boucle scénaristique), "The Road To Revolution" qui me file une patate dingue à chaque fois que je l'entend, "Hymn Of The Thousands Voices" qui mêle violon, guitare sèche, chœurs, piano... le kiff total !
Est ce que c'est du Metal ? Pas vraiment... Est ce que c'est du DREAM THEATER ? Pas vraiment non plus en fait... L'album est trop différent de ce que nous a habitué le groupe. Est il pour autant à brûler vif sur la place publique ? Non bon sang !
Le groupe nous livre ici quelque chose que nous n'avons plus eu depuis des années : quelque chose de profond, de cohérent et de beau.
Les quelques bémols selon moi c'est un retrait assez marqué de la basse et l'absence de final complètement dingue à la "Octavarium".
Bref voilà ce que j'en pense dans les grandes lignes et sans trop partir dans tous les sens (pas simple tellement cet album m'évoque de bons sentiments).
Donc non, ce n'est pas du Metal, il n'y a (pratiquement) pas de riff et le côté prog est carrément en retrait. A la place on a une construction plus fine où tous les aspects s’entremêlent pour former un tout bien plus consistant que tous les autres albums.
Je ne peux pas dire si cet album est mon préféré, les années me le diront.
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le 30 Avril 2016 par ANGEL SOUL
Je re-poste mon com de Force Parallele pour apporter un peu d'eau au moulin :
Que ceux qui n'ont pas compris la démarche de Labrie et consorts lèvent la main ? Oulà oui, cela fait du monde. De la à leur jeter la (les) pierres il n'y a qu'un pas.
Je suis rentré à 100% dans l'oeuvre des Ricains. C'est beau, lancinant et poignant, me donne des frissons, (la mise en avant du clavier symphonique et du sampling n'entant pas faits pour me déplaire) et qu'importe le passé élitiste des artistes je me laisse totalement happer par le fil conducteur de l'album.
Je ferme les yeux m'évade, m'envole et m'émeut, et c'est bien la l'essentiel.
D'ailleurs je l'écoute en boucle et c'est a mes yeux la fonction des grands albums.
Peut être pas la pièce maitresse de DREAM THEATER (mais est-ce vraiment encore du DREAM THEATER? ). C'est ce qui peut fâcher je suppose...
Heureusement (pour eux et nous) certains ont su saisir l'essence(tiel) de la galette.
Merci James et longue vie à DT.
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