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Led Zeppelin
Led Zeppelin Iv
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le 28 Octobre 2009 par NEOPHYT24
L'album le plus grand de LED ZEPPELIN, incontestablement.
Tout les ingrédients d'un album culte sont là : le mysticisme de la pochette, la symbolique des runes, la puissance du son (putain "Black Dog", "Rock And Roll", "When The Levee Breaks" !!!), une qualité musicale rarement égalée tout en y ajoutant la diversité des styles abordés (Hard Rock, Rock & Roll survitaminé, Folk, ballades, Blues)...
Tout a déjà été dit sur cet album, mais en 1971, LED ZEPPELIN est LE groupe du moment. Ils ont conçu l'album de l'année et la chanson de l'année (devinez laquelle).
Lorsque la musique est au diapason avec son époque et le public, on obtient un carton.
Alors oui le "I" est plus puissant. Oui "Physical" est plus heavy et plus fourni (quoique...). Mais sur ce "IV", qui en fait n'a pas de nom (essayez, aujourd'hui, de mettre un album dans les bacs avec aucun nom, aucun titre, aucune marque de label, juste une pochette abstraite et rien d'autre), le groupe joue la carte de la diversité tout en maintenant une grande cohérence dans le son.
Robert Plant hurle comme jamais, Bonzo est sans conteste le plus grand batteur de l'époque et Page et Jones pondent des riffs d'anthologie. Que demander de plus ?
L'un des plus grands albums de tous les temps.
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le 18 Octobre 2009 par KINGSTALKER
L'album sans-nom est sûrement le skeud le plus connu du dirigeable. Malheureusement, mon avis est vraiment nuancé vis-à-vis cet album. Sûrement le plus surestimé de toute la disco' du Zep'.
Si l'album a été un aussi grand succès, ce n'est pas pour rien. Il contient en son sein, je me demande pourquoi je le dis d'ailleurs, "Stairway To Heaven". Malheureusement, cette seule chanson a fait oublier au public son contenu plus moyen. C'est bien simple : sur 8 chansons seul 4 retiennent mon attention + 1 que j'aime assez. Le reste : poubelle.
"Black Dog" : ouvre l'album sur un riff de Page et sur la rythmique dantesque de Bonham. Le chant de Plant est puissant. Un classique et un étalon live.
"Rock And Roll" : Je ne comprendrai jamais l'enthousiasme général vis-à-vis de ce titre. Pastiche ennuyeux et ringard de la musique rock des années 50. Je déteste ce morceau, le pire de l'album.
"The Battle Of Evermore" : Alors là oui, grande chanson basée sur Tolkien. Très folk mais très sombre, une vraie bouffée d'air pur après deux titres électriques et qui ouvre très bien la voie à...
"Stairway To Heaven" : la voilà, la célèbre chanson aux paroles d'une complexité et d'une poésie rare. Finalement, je la trouve sympa et est sans conteste celle que j'aime assez, sans plus. On retiendra la mélodie, reprise du Taurus de Spirit. Ainsi que l'extraordianire soli de Page à la fin du titre. Un très bon crescendo et un chant tour à tour calme et rageur.
"Misty Mountain Hop" : on sent bien l'influence de Jonesy sur ce titre, trop répétitif je trouve. Une bonne ambiance toutefois, mais cela suffit-il pour en faire une bonne chanson ?
"Five Sticks" : un des sommets du disque. Puissant et efficace. L'originalité du titre vient du fait que Bonham joue avec deux baguettes à chaque main. D'ailleurs, si vous vous concentrez, vous pourrez entendre un petit claquement.
"Going To California" : ballade accoustique pas déplaisante mais encore une fois lassante sur le temps. Jolie mais pas essentielle, attention cette ballade est tout sauf niaise.
"When The Levee Breaks" : comme le groupe, je trouve que cette chanson est la meilleure disque. Blues comme il faut, lourde et puissante. Chant maîtrisé de bout en bout. Enfin bref, une réussite totale!
Voilà, je sais mon avis est dur. Mais je le pense assez juste finalement. Ce n'est pas parce que cet album est un classique qu'il est essentiel... Déception.
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le 29 Juillet 2009 par DOLCE VITA
La chanteuse en duo avec Robert Plant sur "The Battle of Evermore" est Sandy Denny du groupe Fairport Convention
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le 16 Janvier 2009 par JOVIAL
J'ai découvert LED ZEPPELIN et le Hard Rock avec cet album. Encore aujourd'hui je l'écoute et le réécoute, toujours avec un grand plaisir...
Les chansons sont parfaites, sauf peut-être "Going To California", un peu faiblarde et "When The Levee Breaks", qui malgré un rythme d'enfer, nous amène dans une sorte de flou délirant vers la fin que je n'aime pas du tout...
Mention spéciale pour "Black Dog", "Rock And Roll" et bien sûr "Stairway To Heaven".
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le 14 Septembre 2008 par DREAMER_DECEIVER
Album le plus vendu de Led Zeppelin dites vous ? Et bien pour fois nous dirons que les masses ont bon goût et que le succès populaire coïncide avec la qualité musicale.
Entrée en matière très "rock n roll" avec deux titres rapides, percutant, portés par de super riffs, et pour arranger le tout la voix de Plant qui crève le plafond , mazette cela dégouline déjà de pure classe et d'efficacité maximale.
Mais tout, ce ci n'est que préliminaires car le folk de "Battle of evermore" qui déboule derrière est un monument de grâce, de légerté et d'inspiration.
Son seul défaut est d'être placé devant le fameux "Stairway to heaven", sans doute la (semi) ballade la plus connue de l'histoire du rock, un morceau mythique faisant figure d'Everest dans ce disque.
J'en apprécie les lentes variations, la graduelle montée en puissance aboutissant à une éruption paroxysmique finale.
Un ancien collègue de boulot m'avait dit que c'était une métaphore d'un acte sexuel mais comme il ne pratiquait pas très souvent je l'ai toujours soupçonné d'affabuler quelque peu.
Derrière ce quatre étoiles musical, cela se calme un peu, "Four Sticks" est par exemple en dessous ... mais on reste tout de même porté par le feeling envoûtant de ce disque.
Le dernier morceau "When the levée breaks" est un de mes morceaux préférés de Led Zeppelin , un pur chef d'œuvre musical charriant une ambiance planante, mystique comme une ballade nocturne le long du fleuve Mississipi.
Le meilleur album de Led Zep pour moi, l'incontournable, la référence.
La classe à l'état pur envoûtant l'auditeur hypnotisé.
Idéal pour se forger un (bon) goût musical.
Avec ce type d'album les années 70 ont placé la barre très (trop ?) haut pour les décennies à venir.
Trop de chef d'œuvres pour refuser le 5 étoiles.
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