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Manowar
The Triumph Of Steel
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le 03 Septembre 2015 par NARCHOST


Pfiou, pas facile cet album. Du très bon ("Achilles...", "Metal Warriors", "Power Of Thy Sword", "Master Of The Wind"). Bof pour le reste. Bon allez, le premier morceau aurait été jouissif sans les solos basse et batterie qui sont, comment dire, hum hum.
Peut être pas l'album à conseiller pour débuter mais pour les autres ça reste quand même un bon album.
3/5 ? Oué j'aime bien ça.

le 26 Février 2014 par MR G


"Metal Warriors" et "Spirit Horse Of The Cherokee", voilà ce qu'il y a à retenir de ce premier faux pas de MANOWAR ! Le reste de l'album est pompeux, répétitif et long ! Je vais quand même rajouter "Master Of The Wind" car elle est pas si mauvaise ! Rien que le morceau de 28 minutes n'a ni queue ni tête et le solo de basse y est totalement ridicule ! Eric Adams commence déjà à trop employer son chant éructé et ça le fait très moyennement ! Bref, une déception peut-être dû au changements de batteur et de guitariste !

le 23 Octobre 2011 par KINGKILLING


Il est toujours difficile de succéder à un chef d’œuvre (ici l'excellent "Kings Of Metal"), et le résultat n'est pas toujours à la hauteur. C'est le cas pour les guerriers Metalleux de MANOWAR.

"The Triumph Of Steel" n'est pas un mauvais album, au contraire. Mais, succédant à "Kings Of Metal", la comparaison ne peut être que fait.
Ça commence plutôt mal avec une des plus longues chansons de MANOWAR : "Achilles, Agony & Ecstasy In Eight Parts". En plus d'être trop longues, les parties ne sont même pas reliées entre elles, on a plus l'impression d'entendre huit titres distincts qu'une chanson entière. Pour couronner, l'ennui se fait ressentir au bout de "The Death Of Patroclus" (qui est seulement la seconde partie), et le solo de batterie est terriblement chiant. Seule la partie rapide est agréable, et encore je suis gentil.
Heureusement le reste de l'album n'est pas du même acabit, sauf "Master Of Wind", une ballade typée médiévale mais qui est tout simplement ratée et horriblement ennuyeuse.
Des titres comme "The Power Of Thy Sword" (une chanson rapide, qui est un pur plaisir avec un refrain quasiment hurlé par Eric Adams. Les chœurs sont sympathiques, et le solo est pas mal) ou "The Demon's Whip" (très Heavy au tempo lourd et pesant. La fin apocalyptique, très speed, est excellente) sauvent l'album de la mièvrerie.
Les autres types, sans être excellents, sont plutôt bons mais ils ne resteront pas dans les mémoires (malgré les bonnes parties vocales sur "Metal Warriors", ou la noirceur de "Burning").

"The Triumph Of Steel" est un album où MANOWAR se cherche un peu après le départ de deux de ses membres. Un album à conseiller aux fans Die-Hard du combo.

Chansons favorites : "The Power Of Thy Sword", "The Demon's Whip".

le 24 Novembre 2010 par LUDOVICO


C’est au terme des 80’s que MANOWAR a décidé de ralentir considérablement le rythme de ses parutions. Quatre ans séparent “Kings Of Metal“ et le présent album.

Conforté par le succès du titre narratif “The Warriors Prayer“ / “Blood Of The Kings“, nos quatre guerriers remettent le couvert avec un titre d’introduction de près de trente minutes scindés en plusieurs parties.

Pour ma part c’est un demi-succès. L’ennui s’installe assez rapidement et les parties purement instrumentales telles que solo de basse et de batterie sont chiantissimes car trop démonstratives : “Ecoutez-tous comme je sais bien jouer de mon instrument !“…
L’avantage d’avoir pris le risque de placer cet encombrant morceau en tête de l’album est qu’il évacue en premier l’ennuie qui s’installe. Il se dégage de ce titre un côté pompeux comme si le groupe avait pété plus haut que son cul. La force de conviction a toujours été un élément essentiel pour ce groupe. Le problème c’est que quand ça frise le ridicule, MANOWAR se retrouve piégé et cet atout se transforme en handicap car il n’est plus possible de faire marche arrière.
Cependant, à partir des titres suivants on a l’impression que l’album démarre véritablement et c’est du tout bon jusqu’à la fin. Gros bémol quand même : étant donné que l’on vient de se fader un monstre assez indigeste de trente minutes, les introductions sur “Spirit Horse Of The Cherokee“ et “The Demon’s Whip“ me font râler à chaque fois car elles ralentissent trop le rythme de l’album.

Globalement MANOWAR ne s’est pas loupé mais on sent que ça commence à branler dans le manche.

Titre qui m’en touche une en faisant bouger l’autre : “Burning“.

le 01 Mars 2009 par KOV666


MANOWAR véhicule une imagerie et un esprit "Brothers of Metal" faits d'acier, de fantasy, de vikings, de combats, de gloire, d'amour pour le sexe opposé, de sueur et de testostérone. Que cela prête à sourire (ou plus méchamment, à ricaner) ou pas, je pense qu'un titre comme "Achilles" ne pouvait qu'arriver pour MANOWAR, à savoir une envie de dépeindre une fresque épique et guerrière reprenant les clichés évoqués ci-dessus.

Certains la trouveront barbante, inutile, mais elle s'inscrit dans la logique épique du groupe (raconter une épopée sur un titre de cinq minutes c'est pas sérieux) et tout comme autrefois les contes et histoires avaient tendance à s'allonger, à s'étaler en longueur, sans ponctuation parfois, on retrouve ici l'histoire d'Achille qui s'étend sur pas moins de vingt-huit minutes. Premier divorce avec certains fans qui y voient une cassure du rythme et regrettent une moindre abondance de heavy traditionnel fait à base de riffs bien acérés. Pourtant cette évolution était bien présente en filigrane sur les albums précédents.

Mais je ne pense pas qu'on puisse reprocher ici à MANOWAR de ne plus faire du MANOWAR. L'album est bien heavy dans son essence (ce n'est plus tout à fait le cas de "Gods of War" par exemple) et seule la ballade "Master of the Wind", au demeurant fort jolie, ralentit évidemment le rythme.

Sinon, tous les titres sont au minimum bon, et j'avoue que je ne comprendrai jamais ceux qui n'arrivent pas à accrocher à cet album. Pourtant l'esprit MANOWAR et bien là, l'acier et la guerre et la gloire aussi.
Donc je pense que le cahier des charges est bien rempli.













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