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Symphony X
V - The New Mythology Suite
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le 22 Février 2007 par KEVIN


Voici l’album de symphony x qui m’a le plus rebuté au début. Le changement de son m’a dégoûté au premières écoutes mais au fils du temps on se rend compte de la richesse de l’album. Il faut le prendre tel qui l’est, un concept album. En plus quel talent musical, fallait oser pour s’attaquer à des reprises(même si elles sont courtes) de Mozart(lacrymoza) et du requiem de verdi, et les solos et rythmiques de Roméo. Quel virtuose ! Enfin comme dans tous les albums. Franchement j’espère qu’un jour Symphony X sera reconnu à sa juste valeur et qu’il vendra beaucoup plus d’albums, c’est vraiment mérité. C’est pour moi un des rares groupes qui mérite un statut culte comme les grands que sont Maiden, Purple, Zeppelin etc… lui et Dream Theater. Pour conclure pas mon préféré de Symphony X, à cause de cette nouvelle sonorité (c'est sans doute pour ça que j'ai trouvé l'album difficile d'accès) mais un très grand album tout de même. Disons qu’il est différent de ses prédécesseurs.

le 09 Décembre 2006 par IKKI


Après un "Twilight in Olympus" légèrement en-deçà, SYMPHONY X se ressaisit avec ce sublime album. Des morceaux magnifiques "Evolution (the grand design)", "Fallen", le superbe "Communion and the oracle", "A fool's Paradise" ou le dernier titre "Rediscovery" : que des merveilles de beauté aux refrains magnifiques. On note bien 2 ou 3 titres un peu plus faibles mais ça n'entâche pas beaucoup se splendide disque.

le 18 Mai 2006 par CRAZYSQUIRREL


Un très bon album, surcoté comme son prédecesseur, le groupe refaisant en légèrement moins bon ce qu'il a déjà fait sur Divine Wings (mais pouvait-il faire mieux ?). De superbes morceaux quand-même, mais l'autoplagiat est proche (cf Communion and the oracle).

le 11 Mai 2006 par SAM


Si The Divine Wings of Tragedy est probablement le titre que je trouve le plus fabuleux dans ma discothèque metal riche de quelques 200 albums maintenant, ce disque argenté me fait un peu le même effet : pas moyen d'en sortir une fois que les premiers accords ont été plaqués (adaptation du "Dies Irae" du Requiem de Verdi pour ceux qui n'auraient pas remarqué - une bonne occasion de jeter une oreille là-dessus peut-être ! ).
Même si les paroles sont pour moi secondaires, j'accroche assez au thème évoqué dès "Evolution (The Grand Design)" qui est reflété tout au long de cette sorte de concept-album, et accessoirement sur la pochette et dans le livret.

Je ne vais pas rentrer dans un détail piste par piste, tellement pour moi l'ensemble est homogène, les titres "in-your-face" alternant avec des moments plus calmes, des interludes instrumentaux qui remplissent parfaitement leur office de passerelle d'une atmosphère à une autre; ainsi par exemple "The Death Of Balance", avec la section basse-batterie en symbiose malgré un rythme ultra-syncopé, techniquement hallucinant ...
D'ailleurs ce qui fait que je trouve cet album tellement supérieur à Twilight In Olympus est très probablement dû en grande partie au retour de Jason Rullo à la batterie, tellement puissant, précis et incisif.
Russell Allen est particulièrement à l'aise et constant ici une fois de plus comme presque toujours, y compris en live (probablement le meilleur chanteur live que j'aie jamais vu côté présence, pêche et justesse).
Michael Romeo n'en met peut-être pas plein la vue comme dans "Smoke And Mirrors" par exemple, mais il se fond vraiment dans ses propres compositions je trouve.

Enfin, je dirais que je peux comprendre ceux qui sont un poil déçus par cet album sur lequel ils aimeraient trouver un titre qui sort du lot, un truc accrocheur, un hymne phare pour le groupe ... Ca n'est justement pas le but du jeu ici. il faut vraiement s'enfoncer dans son fauteuil, fermer les yeux, monter un peu le son et appuyer sur "play" (je suis sûr que vous y arriverez, vous connaissez les touches de votre télécommande par coeur, non ?) - on ouvre à nouveau les yeux à la fin du voyage et on n'a pas vu le temps passer ...

le 02 Mars 2006 par ALBIRéO


Je casse ?

Non, pas trop quand même !

Je suis de l'avis opposé au chroniqueur : les parties instrumentales me gonflent. Paf ! Désolé ! Michael Romeo a dû plancher comme un malade dessus ; elles sont d'ailleurs mélodiquement superbes ; mais elles saucissonnent complètement le rythme de l'album. Elles en deviennent, à mon goût, pénibles et pompeuses.

Pour le reste, c'est de l'excellent. Mais je reste accroché à "Twilight in Olympus", merveilleux, et à "The divine wing of tragédy" flamboyant.

Trops d'effets tuent les effets. Mais j'insère sans difficulté "Evolution", "Fallen" et "A fool's paradise" dans le top ten de Symphony X.













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