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Slayer
Divine Intervention
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le 30 Janvier 2020 par CIRDEK
Parti à l'arrache au taf ce matin en ayant embarqué cet album, à l'arrache aussi, avec moi dans la voiture.
Eh ben il vieillit bien le bougre ! Je me rappelle pourtant avoir été si déçu à sa sortie, mais normal, opus suivant "Seasons..." qui reste pour moi la meilleure synthèse du groupe.
Il y a déjà deux tueries que je considére comme classiques, "Killing Fields" qui d'entrée de jeu nous présentait Paul Bostaph et moi j'aime bien son jeu au bonhomme (aparté : les trente premières secondes de ce morceau méconnu qu'est "Gemini" argh! Je ne parle pas de technique, je ne suis pas batteur, juste de feeling, de putain de good vibes et je vous promets que pleine bourre, à la beauf, dans les rues de ma ville, j'adore au point de me les remettre plusieurs fois d'affilée, faut dire que je me suis toujours fait plaisir en pétant en série le PEL dans la sono, je fais pas mal de route en campagne paumée et alors là... Entre ma Christine et ma musique, alors là ! Attention le monde !!! Personne ne pourra jamais t'arrêter, jamais !!! ... mais je m'égare huh) et "213", qui nous place dans la psyché de cette saloperie qu'était Jefrey Dahmer, rencardez-vous sur ce misérable et suivez les paroles, des frissons.
Les autres titres, ouais ça bastonne à la Thrash, "Dittohead" moi j'adhère, "Here in 1994 violence is what adore" (à ne pas prendre au premier degré bien évidemment, SLAYER se fait le reflet de son époque, il observe, constate) et merde 1994, c'est si loin et le Thrash avait déjà passé le relais, mais SLAYER gardait le cap avec, certes, une option "Punk", due pour ma part, à cette façon qu'a Tom de brailler quasi tout du long et aujourd'hui en cette journée pourrie de début 2020, eh ben moi, c'est what I adore!
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le 19 Octobre 2019 par TED
J'ai adoré "Seasons In The Abyss", mais je n'aime pas "Divine Intervention" (et pas "Reign In Blood" non plus, en tout cas pas les versions studio). C'est très brut (Punk !) ici, mais paradoxalement je ne retiens pas grand'chose, et souvent (tous les titres rapides, comme "Sex. Murder. Art.", "Dittohead", "Circle Of Beliefs") ça me donne mal à la tête - Tom, arrête de hurler stp ! Et du coup je n'arrive même pas à apprécier les titres "à ambiance" ("Divine Intervention", "213"). En fait, alors que j'ai écouté l'album de nombreuses fois, je me rends compte en écrivant ce commentaire que je connais très mal "213" (cqfd).
Pas ma came, voilà tout...
1,5 arrondi à 1 (parce que j'ai envie d'être cassant aujourd'hui !).
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le 17 Juillet 2019 par ZEPEKENIO
album médiocre, sans envergure et bâclé.
Production faible, le chant de Tom Araya est par moment insupportable, c'est dire l'ampleur des dégâts.
Après le chef d’œuvre "Seasons In The Abyss", quelle chute !
Heureusement, "213" est un morceau vraiment captivant, quelle noirceur.
Mention bien pour "Killing Fields" et le titre éponyme.
Le reste est sans intérêt.
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le 19 Juin 2019 par INITIALES MM
Un album dans la veine de "South Of Heaven" pour son côté mélodico-malsain. Le son est monstrueux, la rythmique est phénoménale, les riffs sont innombrables, et des mélodies embellissent l'ensemble. La voix de Tom Araya n'a jamais été aussi sincère : il passe d'un chant parfois clair à des hurlements agressifs venus des confins de l'obscurité, et en substance du fond de ses tripes.
Ce qui marque vraiment dans "Divine Intervention", c'est qu'il dégage énormément d'émotion, plus que n'importe quel autre album. Par conséquent on y croit vraiment, et on est totalement immergé. Cet album c'est comme une noyade dans un océan glacial et d'un noir d'encre.
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le 09 Avril 2018 par ALEX F
Ce que j'aime dans cet album, c'est le son. Brut, sans fioriture, sans concession, pas ou peu de réverbe ou de delay ou autres effets artificiels en tout genre, ça sonne presque comme une démo. Une démo qui tabasserait sévère, d'ailleurs ça canarde un poil trop peut-être, parce que ça sature par moments (cf. "Killing Fields").
Pour ce qui est du contenu, c'est assez bon dans l'ensemble. Il y a un travail intéressant sur les atmosphères. Et comme souvent avec SLAYER, on a droit à quelques riffs de haute volée. En revanche, les solos de guitare auraient mérité un peu plus de travail il me semble, mais c'est souvent le cas pour ce groupe, exception faite de l'album "Seasons In The Abyss" qui contient de bons solos. Paul Bostaph martèle sa batterie bien comme il faut, montrant ainsi qu'il est capable de remplacer Dave Lombardo (et même de le surpasser en technique, mais pas en feeling, à mon humble avis). L'album est tout de même difficile à digérer d'une traite, car le côté Hardcore finit par lasser.
En résumé, un album inégal, mais doté d'un charme certain.
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