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Rhapsody
Triumph Or Agony
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le 30 Octobre 2006 par LOV312
superbe album! Lorsque je l'ai écouté dans un grand disquaire, j'ai failli être déçu... je trouvais ça un peu mou. Mais je l'ai quand même acheté, du fait de ne pas avoir pu écouter les morceaux en entier. Et franchement, j'en suis ravi. L'album est puissant, bien produit, varié, et on a l'impression que leur vaillant batteur continue le virage de SOEL 2, c'est à dire ne plus balancer de la double grosse caisse à toutes les occasions. Ca allège le style des italiens. Notons les magifiques ambiances arabisantes sur certains morceaux. Superbe vraiment
Par contre, l'album n'est pas à conseillé à celui qui aime le métal plus classique, type Judas Priest :)
Pour tous les autres, lançons nous à la poursuite des aventuriers, afin d'être présent lors de la prochaine grande bataille des pays enchantés!!
Rhapsody rules!
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le 12 Octobre 2006 par CLEM
Salut,
Petit extrait d'une interview de Luca Turilli donnée dans le dernier Hard N' Heavy d'octobre 2006 :
Hard N' Heavy : Tout d'abord, peux-tu nous expliquer pourquoi tu as dû changer le nom du groupe en Rhapsody of Fire ?
Luca Turilli : C'est une très longue histoire... Tout a commencé à la formation du groupe, en 1997, lorque nous avons choisi de nous appelé "Rhapsody" en lieu et place de Thundercross. Nous savions que des sociétés s'appelaient déjà de cette façon, mais nous ne pensions pas que ça poserait de problème. En 2001, notre management a reçu un courrier d'un américain qui nous signifiait avoir déposé la marque "Rhapsody". Nous avons fait profil bas, et l'affaire n'a pas explosé. Mais cette année après notre tournée aux Etats-Unis et la sortie de Live in Canada, le gars nous a fait comprendre que notre nom commençait à bien circuler outre-Atlantique, il était temps de faire quelque chose. Nous avons trouvé un accord à l'amiable, ce qui nous a évité de retirer tous les disques de Rhapsody du commerce. Il a été très conciliant et nous a permis de conserver notre logo et notre nom, uniquement si nous le modifiions afin qu'il n'y ait plus confusion entre le groupe et sa marque déposée. Nous avons trouvé que "Rhapsody of Fire" sonnait plutôt bien. C'est un hommage à un titre du guitariste Al Di Meola (sur l'album Tirami Su, 1987). Notre plus grand soulagement est toutefois de pouvoir conserver le terme "Rhapsody" dans notre nom. Nos fans ne seront donc pas totalement perdus ! Ils pourront même continuer à crier "Rhapsodyyyyy !" lors des prochains concerts (rires) !
Voilà pour l'explication en détail. Mais de toute façon, il est clair que Rhapsody of Fire, restera Rhapsody dans nos têtes !
Un peu comme le Yngwie Malmsteen's Rising Force reste Malmsteen !
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le 10 Octobre 2006 par MAX
Personne n’est dupe. Même pas les membres du groupe. Ben oui, caser un « Of Fire » en tout petit sous le nom, ça fait vraiment genre on s’en fout. On me fera pas croire que les déclarations enflammées du groupe (c’est le cas de le dire !) sur ce nouveau patronyme ne cachent pas une petite volonté de refouler ce « Of Fire » dans les darkest abyss de l’anecdotique. D’ailleurs, on s’en fiche réellement : pour nous tous, Rhapsody (Of Fire) s’appellera toujours Rhapsody, voire Rhapso pour les intimes.
Bref, deuxième partie de l’histoire du « The Dark Secret », qui raconte comment les héros s’emparent du livre, ainsi que la résurrection de Nekron. Oui, je sais, je m’en veux de vous spolier le suspense comme ça, mais il faut le dire, car c’est donc un point de scénario porté – selon les dires de Luca – sur l’action. Et donc, ceux qui reprochaient à SOEL2 son manque de pêche et de guitares seront aux anges, puisque TOA est encore plus calme que son prédécesseur. On appelle ça la cohérence. Puisque l’épisode suivant devrait normalement nous conter comment Nekron (bad guy) massacre et ruine à tout va, on doit sans doute s’attendre à un disque entièrement constitué de ballades.
Sommes toutes, calme ne veut pas dire mauvais, et à cet égard, TOA est un album qui a des idées et des bons moments, à commencer par son intro. On a droit à deux titres speed (« TOA », qui ne rivalisera jamais avec les hits du groupe et « Hearts of The Darklands », avec un sympathique riff hérité de « Flames Of Revenge »), trois en comptant le bonus track, par contre ceux qui aiment les marches mid-tempo et les ballades seront aux anges, puisqu’elles sont légions et plutôt réussies. C’est vrai qu’on s’attend à tout moment à entendre Eric Adams sur « The Myth Of The Holy Sword ». Le gros morceau de l’album, « The Mystic Prophecy blablabla » rentre d’ailleurs dans sa catégorie, et la première moitié est tout simplement époustouflante. La suite, un peu trop descriptive et axée sur la narration, part quand même un peu en couilles (par exemple, Fabio chante comme : Fabio tapez 1, Eric Adams tapez 2, Hreidmarr tapez 3, un chanteur de death parmi les 5000 qui existent tapez 4), mais bon sang, ça c’est du lourd bien épique (au vrai sens du terme) comme on en veux ! Et encore en en voudrait plus !
En ballades, « Old Ages Of Wonders » nous replonge dans « Legendary Tales » et autres « Forest Of Unicorn » des temps anciens (un très bon refrain). De son côté, « Il Canto Del Vento est aussi belle que « Son Of Pain » est nase (du reste j’ai lu deux chros qui louaient se morceau, je l’ai donc réécouté patiemment. Non, c’est de la daube, désolé), et au rayon des surprises, on relève « Silent Dreams », qui pour Rhapsody est assez nouveau. J’arrête là, hors de question de passer tous les titres (de toutes façons c’est presque déjà fait). Si, juste le bonus track « blague » « Defenders Of Gaia », qui non seulement propose le meilleur solo du disque (blague) mais dont le refrain est constitué du solo de Knightrider Of Doom » (grosse blague). Classique mais sympa.
Notons un très bon travail au niveau des arrangements (pour ne pas dire que c’est titanesque et que ça pète sa maman) et des refrains qui sont majoritairement très entraînants (« The Village Of The Dwarves » et « March Of The Swordmaster » ont semble-t-il servis de référence). Fabio chante excellemment bien et ne surjoue pas cette fois (hormis le regrettable passage que j’ai mentionné). En revanche les guitares sont pas très puissantes (quoique plus que dans SOEL 2 au niveau du volume sonore) et les solos très très minimaux. Et vous savez pourquoi ? Attendez, vous allez rire : Luca trouve que sa pratique est limitée (si, si, lu dans un magazine). Alors du coup il met le frein. Vous êtes donc tous encouragés à inonder Luca de mails genre « t’es un dieu de la guitare, refais nous tes supers solos de la mort comme du temps de Dawn Of Victory », le talent inexploité, moi, ça m’énerve.
Maintenant, pour faire la comparaison, il est à peu près certain que TOA se fait enterrer par les trois premiers albums du groupe et est même moins bon que SOEL 2. Le plus regrettable étant le manque de tueries (vous savez, ces titres qui sont géniaux du début jusqu’à la fin ! Ben là y’en a pas). SOEL 2 avait au moins « Unholy Warcry », là y’a toujours un truc qui me gêne : un couplet trop long, un pont trop loin (oui non, désolé, c’est nul), un solo bof bof, Fabio qui beugle (oui, sur « MPOTDemonknight on passe quand même très très près du chef d’œuvre)…
A toutes fins utiles, l’album moyen de Rhapso est quand même toujours bien au dessus de la moyenne des sorties. C’est un très bon disque. L’industrie Turilli se porte donc de manière très homogène (ben oui : deux Turilli et un Rhapso en 2006, là c’est carrément de l’industrie). Reste de savoir si, si Luca avait sorti un album au lieu de trois, on aurait eu la tuerie ultime que j’attends toujours du groupe et qui visiblement ne souhaite pas se pointer.
14,5/20, on va dire
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le 05 Octobre 2006 par BLAIS-SABBATH
C`est mou, le groupe se répète, et le côté métal à presque disparu, mais crisse! que c`est bon!!! Complètement magique!! Mon album préféré de Rhapsody avec leur album précédent!! Seulement pour la pièce Mystic Prophecy of the demonknight, le cd vaut la peine d`être acheté!!! J`adore!
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le 02 Octobre 2006 par AKRON
Pour compléter la chronique, suite à mon achat de l'édition limitée française :
3 titres bonus : "Defenders Of Gaïa" : un titre speed classique, avec un solo bien typé "branlette de manche". En deuxième position "A New Saga Begins" : reprend en fait la première partie du titre-fleuve de l'album. Pas une réelle nouveauté. Et enfin, une version française de "Son Of Pain". En résumé, ça ne casse pas des briques mais pour le fan c'est toujours sympa, d'autant que le digipack a de la gueule quand même.
Quelques infos supplémentaires tirées du livret : C'est Dominique Leurquin qui tricote les solos sur "The Myth Of The Holy Sword" et sur "Silent Dream", et en duo avec Luca sur "Triumph Or Agony" et "Bloody Red Dungeons".
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