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31 commentaires notés [?]
Devin Townsend
Ocean Machine Biomech
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le 26 Février 2016 par PLAUDE
Curieuse cette interprétation dominante qui veut absolument assimiler la musique de ce skeud à un panégyrique de la puissance de l'Eau avec un GRAND E !
Je n'y vois personnellement qu'un prétexte de ligne directrice, de thème esthétique qui n'a pour finalité que de révéler au grand jour le génie incommensurable de Devin Townsend.
L'eau ? Mouais c'est vrai qu'on y pense quelque fois à l'écoute de l'album...
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le 25 Février 2016 par RODRIGO
Je viens de réécouter cet album qui sonne toujours aussi incroyablement bien. Devin Townsend est un compositeur de génie, qui a été capable de transformer l'eau en musique (ou la musique en eau, je ne sais plus). Véritable ovni musical, Devin vous transporte dans des territoires inconnus, où vous semblerez perdu dans l’immensité musicale de cet album, tel un bateau perdu au milieu de l’océan.
C’est un album homogène, qui s’écoute d’une traite, tant les différents morceaux s’imbriquer dans une continuité logique.
Superbe, tout simplement !
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le 08 Décembre 2014 par LOUVOIR
Alors que Devin est en train de tout exploser avec l'avalanche d'albums de ses innombrables projets, je me replonge dans cet "Ocean Machine - Biomech" avec plaisir pour me rappeler que le génie du Canadien ne date pas de 2014. Bon sang cet album a 17 ans et déjà tout est là !
Du Metal bien popisé (et c'est loin d'être péjoratif ici), en veux-tu en voilà avec "Life", ou encore "Greetings". Du lourd, planant et éthéré : voici "Seventh Wave". Du Heavy bien tranchant, il y a "Night". De la marche martiale, jetez donc une oreille sur "Hide Nowhere". De la pièce ambiant bourrée d'émotions, écoutez "The Death Of Music" évidemment !
Loin de tout concept spatial, Devin pose ici les bases de ce qui sera sa marque de fabrique jusqu'à aujourd'hui, c'est à dire un Metal surproduit (le son des couches de guitares, mazette c'est unique !), qui fait voyager, qui sait être énergique, mais respire au final la paix et la sérénité. Pour retrouver le côté brutal du bonhomme, c'est du côté du STRAPPING YOUNG LAD de la même époque qu'il faut aller fouiner.
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le 26 Août 2014 par BABAR LE LOUBARD
J’avais découvert Devin avec l’album "Sex & Religion" de Steve VAI où il officiait en tant que chanteur, et je dois admettre que le bonhomme y avait été assez impressionnant… Cependant, il semblait aussi être un sacré hyperactif sous amphet’, ce qui ne me rassurait pas vis-à-vis de sa carrière solo (ni de sa santé mentale d’ailleurs…).
Et pourtant… 4 ans plus tard j’avais fini par poser une oreille sur son second album solo que beaucoup considéraient comme un chef d’œuvre… Hé bien aujourd'hui je leur donne raison !
Je pourrais écrire un pavé sur ce disque tant je le trouve génial mais pratiquement tout a été dit précédemment…
Je vais juste ajouter quelques lignes sur ce que je considère comme les deux éléments clefs à cette « machine de l’océan ».
Premièrement les compos, bien évidement, qui sont excellentes pour peu que l’on prenne le temps d’écouter l’album de manière posée... Ici rien ne défonce sa génitrice par le biais de la vitesse et de la technique. Non, ici tout a été misé sur l’atmosphérique, la surprise et la puissance… Pas la puissance d’une bonne baffe dans la gueule mais plutôt celle que l’on ressent lorsque l’on arrive au sommet d’une immense montagne à la vue magnifique.
Ensuite, cette prod’ atypique… Dès les premières notes de "Seventh Wave" on sent que l’on va partir loin, très loin : c’est puissant, massif, résonnant mais jamais pour autant agressif et fatigant. De cette manière, chaque morceau fait ressentir le lointain, la grandeur, l’immensité, l’infinie… comme une « illustration sonore » de l’océan (ne nous gênons pas, utilisons des expressions pompeuses…).
Bref, sans passer par la case « conclusion élogieuse », je vais simplement en rajouter une couche pour ceux qui ne se seraient pas encore décidés: écoutez-le !
Et si vous en avez l’occasion, faites-le au milieu de l’océan ; effet garanti !
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le 13 Décembre 2012 par MAYOU
Enfin un commentaire sur, allez, n'ayons pas peur de le dire : mon album préféré de tous les temps ! Mais je ne viens pas parler de la musique, car mes mots ne pourront jamais décrire le centième de ce que je ressens en écoutant n'importe quelle parcelle de cet album envoûtant et transcendant... Contrairement à ceux de Julien ! Voilà, je viens ici pour faire l'éloge de la chronique, je n'aurai jamais cru possible de se rapprocher autant de l'esprit de cet album... La meilleure chronique que j'ai jamais lue, pour le meilleur album que j'ai jamais écouté ! Bravo Julien ! J'aime Devin Townsend... Énormément... Je n'arrive plus à écouter quoi que ce soit d'autre avec la même intensité... Et ça depuis deux ans déjà, depuis ma découverte. Je t'aime Devin !
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