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Dragonforce
Inhuman Rampage
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le 10 Mars 2007 par DARK SCHNEIDER


Dragonforce est décidément en progression constante. Inhuman Rampage fait preuve de plus d'homogénéité que
Sonic Firestorm. Tous les morceaux sont quasiment du même niveau ici… et du très haut niveau ! "Throught the fire and flames" fracasse tout d'entrée, ils sont vraiment très forts décidément.
L'album est d'une richesse étonnante, bourré de mélodie, de break, et surtout le clavier de Vadim Pruzhanov est magistralement bien exploité sur cet album. Celui-ci apporte vraiment beaucoup d'originalité et de personnalité à Dragonforce. Leurs sonorités parfois empruntées aux jeux Atari des 80's change vraiment des habituels claviers 'bontempi' qu'on entend d'habitude dans ce style.

Inhuman Rampage est un véritable aboutissement artistique pour Dragonforce. Et contrairement à un certain commentaire, nos anglais font justement voler en éclats tous les clichés habituels du style !
Dragonforce fait du speed mélodique extrême, jusqu'au-boutiste. Reste à savoir comment ils vont réussir à se renouveler par la suite, car honnêtement, je les vois mal surpasser cet album, à moins d'apporter de la nouveauté à leur musique.

le 09 Mars 2007 par LUNAY


Bon là c'en est trop! 3 Albums quasi identiques ça commence à saouler à la longue !
A croire que le groupe a bloqué le métronome sur 180!

Rien de Nouveau dans cet album...

le 08 Mars 2007 par GUEHLYN


Je ne vois pas franchement ce que l'on trouve à un tel groupe. Oui, les musiciens sont excellents, mais honnêtement comme son prédecesseur, cet album reste cliché à mort avec toujours ces choeurs ridicules, ces sons de claviers midi franchement kitsch - même si c'est la marque du groupe -, cette mièvrerie omniprésente. Seul le guitariste lead est intéressant dans ses solos à présent, mais honnêtement autant aller écouter un album de guitar héro ce sera moins pompeux...

le 20 Décembre 2006 par MAX


Malheureusement, ne connaissant pas les précédents albums de Dragonforce, je ne puis pas dire quoi que ce soit sur leur évolution. Certains commentaires précédents, coomme celui de The SOukforged, résument assez bien la situation.
Sur le papier, Dragonforce possède à peu près tout pour être le plus mauvais groupe de tous les temps, une chose aussi honnie que peut l'être Heavenly ou Domine (on rentrera pas dans le détail c'est pas d'eux qu'il s'agit).
On vous a raconté la série du "quelle est le comble du comble?" (ouais enfin c'est des blagues de vieux, ça)? Ben la réponse c'est Dragonforce. Derrière la convention du style, le chanteur stridulant, l'extrême mièvrerie de l'ensemble, au delà de l'aura de ridicule que peut dégager ce groupe, c'est tout un esprit qui nous rend visite.

Oui. C'est le dieu du midi, le médium du MOD, c'est l'essence du jeu des années 80 avec processeur pourrave et mélodies vaguement néo-classiques, c'est Turrican qui revient de sa tombe numérique !

Bon, pour redevenir compréhensible, il y a un truc, c'est que je pense que le groupe est sincère avec ce qu'il propose, et qu'il le fait avec plaisir et bonheur, et mine de rien ça compte vachement.
Donc, comme ces gars paraissent éminemment sympathiques (et d'un niveau technique quand même plus que correct, vous avez quand même lu la chronique : c'est rapide !), ils arrivent à nous faire gober des trucs à étouffer une vingtaine de chrétiens affamés (pas plus, l'écoute du disue nécessitant une période de repos)sans qu'on leur en tienne réellement rigueur.

3,5/5

le 06 Décembre 2006 par THE SOULFORGED


Inhuman Rampage ou l'album qui réconcilie les fans de Lorie et ceux de Marduk. La vitesse poussée à l'extrême comme touche d'originalité, voilà qui a de quoi paraître improbable. Et pourtant, ça marche. Les mélodies atrocement mièvres sont transcendées par la frénésie jubilatoire des musiciens, que ce soit le moissonneur-batteur qui pédale dure et blast-beat sa soeur ou bien les guitaristes tarés qui triturent leur manche comme le ferait une hypoglycémique d'un rouleau de réglisse juteux.
Le défaut, je l'ai dit, c'est la mièvrerie. Et peut-être le manque de charisme du chanteur, qui est un bon technicien (il chante correctement), mais qui n'a aucune personnalité (on dirait un clone de Tobias Sammett, mais en moins drôle).
Mais c'est balayé par la rapidité d'exécution qui emporte l'adhésion. Rapidité qui se couple d'ailleurs avec des idées sans cesse renouvelées, quoi qu'il puisse y paraître au premier abord: le groupe ne tiendrait pas avec des compos aussi longues s'il ne savait pas varier les rythmes, les phrases mélodiques, et autres arrangements de claviers (les fameux bitonios à la tétris).

Bref, j'aime beaucoup cet album, même si je dois avouer que lors des premières écoutes, j'ai eu du mal à aller jusqu'au bout. Non pas à cause de la vitesse: je l'endure sans peine, mais à cause de la ballade conclusive, qui purule de bons sentiments à écoeurer un phacochère.

Mon morceau favori, c'est "Body Breakdown", doté d'un "pré-refrain" absolument terrible et d'un refrain tout aussi fédérateur. C'est ma meilleure amie, c'est clair.

Maintenant, un album, et tout est dit. Je n'éprouve ni l'envie de découvrir les précédents albums du groupe, qui ne doivent être que des tatonnements imparfaits qui tendent vers ce Inhuman Rampage, ni d'écouter une éventuelle suite, qui ne peut être qu'une resucée sans grand intérêt ou bien un virage improbable tout autant inintéressant.
La messe est dite, amen.













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