Bon.
Jusque-là METALLOC avait déjà réussi à nous plonger la tête dans le chiotte. Et on croyait pouvoir dire qu'après ça, tout irait mieux, peut-être.
Mais que nenni. Ici ils nous collent la joue sur les raclures, bien aidés par tout le "talent" de LULU (je ne veux laisser aucune part au doute, c'est évidemment ironique).
Le seul bémol, je suis aussi de ceux qui pensent que cet album est plus un album de LULU que des 4 Donkeyman (pour le coup).
Pfff...