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34 commentaires notés [?]
Alice Cooper
Trash
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le 24 Novembre 2016 par BABAR
L'archétype ultime de l'album Hard FM.
C'est même une caricature totale.
Si le but c'était ça et ben c'est carrément réussi.
Vous pouvez changer la voix de Cooper par celle de Bon Jovi ou M. Pokora ça collera de la même manière.
Bref, tout ce que je déteste...
POISON fait quand même son p'tit effet, mais c'est parce que le reste est tellement has been...
Le vrai cauchemar d'Alice Cooper c'est ici que vous le trouverez.
Non mais sérieusement ???
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le 15 Mai 2016 par YNGWIE-COOPER
A l'époque j'ai découvert ALICE avec cet album, j'ai adoré de suite et n'ai jamais lâché l'affaire depuis. Tous les morceaux sont hyper catchy, du grand Hard FM. Ce disque divise les fans, moi je préfère la période FM d'ALICE à sa période "Indus", j'octroie donc un bon 5/5 !!
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le 10 Février 2015 par BENIGHTED
Un album sympa mais pour moi en-dessous de son successeur "Hey Stoopid".
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le 24 Juillet 2013 par RAMON
"Trash" est le plus mauvais disque d'ALICE COOPER que je connaisse, mais soyons indulgents : à l’époque, sa récente sobriété le fit sombrer dans un excès de propreté, la lucidité nécessitant acclimatation pour celui qui n’y est plus habitué depuis bien trop de temps, le sujet pouvant alors être en proie à de nouvelles manies allant dans le sens inverse de celles qui caractérisaient sa pathologie.
Qu'avons-nous ici ? Des synthés abominables, des titres abscons, une production qui nettoie tout au karcher, des chœurs pour midinettes R'n'B et j'en passe...
Après écoute, on pourrait presque y déceler le message subliminal suivant : ”l’honnêteté ça eut payé… ça paye plus… j’suis qu’un pauv’ rocker!”
Alors oui, il y a des invités prestigieux, Alice ayant probablement organisé un grand barbecue pendant les séances d'enregistrement afin de célébrer en grande pompe sa sobriété nouvelle, mais force est de constater que le cola light pur ne convient pas à tout le monde... et le bicarbonate de soude non plus (Allô tonton, pourquoi tu tousses ?).
Il y a surtout la grosse “papatte” bien trop marquée de Desmond Child, le futur producteur des 2Be3 étant avant tout un faiseur de “hits” que l’on retrouve derrière un bon nombre de chanteurs de variété américaine,et aussi un des responsables de la glissade de plusieurs formations et artistes estampillés Hard Rock dans la mélasse la plus indigeste qui soit.
Certes on peut toujours me rétorquer: "oui, mais "From The Inside ? même combat !"
"From The Inside" était un disque terrifiant, presque lugubre, enrobé dans du sucre glace, Alice y chantait des horreurs sur des arrangements calibrés variété/pop/rock qui parvenaient à nous filer la trouille.
Rien de tout cela dans "Trash", sous le sucre glace se cache un beignet dégoulinant de gras, mal frit à l’huile de palme, or comme chacun le sait : outre les dégâts écologiques irréversibles que sa culture provoque (la disparition de la bio diversité dans une partie de l’Asie), l’huile de palme est très mauvaise pour la santé.
Depuis, “Poison” est devenue une incontournable des setlists du Coop, son passage devenant de facto le moment idéal pour aller se soulager ou (non exclusif) pour aller se ravitailler d’un liquide de son choix. Notons que cela fait quelques années que ce bon vieil Alice a choisi de se passer de toute forme de clavier sur scène et qu’en plus il met une belle application pour chanter faux sur ce titre, ce qui le rend d’emblée beaucoup plus sympathique mais à peine moins faible.
C’est comme ça, STATUS QUO se croit dans l’obligation d’interpréter “In The Army Now" à chaque concert, Alice fait pareil avec “Poison”.
Alors oui et n’en déplaise à certains, ALICE COOPER c’était MIEUX AVANT, et pour s’en rendre compte, il n’est nul besoin de remonter à "Killers", ni même à "Welcome To My Nightmare", le "Dada" de 1983 faisant parfaitement bien l’affaire, pour démontrer l’évidence.
La bonne nouvelle étant qu’ALICE COOPER, ce sera aussi MIEUX APRÈS, ce qui n’est pas un exploit au vu de l’abîme artistique constatée ici, mais d’une part le COOP' n’a pas persévéré dans l'impasse FM, laquelle agoniserait bientôt sous les coups de boutoir de la vague Grunge (on ne remerciera probablement jamais assez les PEARL JAM et autre NIRVANA qui ont fait œuvre de salubrité publique), et d'autre part, sans toutefois égaler les splendeurs de son glorieux passé, la discographie à venir du maître du Shock Rock allait malgré cela nous réserver quelques savoureuses galettes.
“Allez, barman, un autre whisky/cola, je vous prie… non, pas avec du light, c’est dégueu…
Une paille ? Non, pas besoin, le bicarbonate ça a jamais été mon truc… Ah, c’est du sucre en poudre ? (Tonton, pourquoi, tu tousses plus ?!?)"
Note: 1/5
J’avais d’abord songé mettre 2 à la chose parce que c’est ALICE COOPER et parce que grâce à sa lucidité retrouvée, il avait pensé à mentionner "Trash" dessus.
Finalement non.
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le 29 Octobre 2010 par MASTCARD
A la première écoute, il m'a été très difficile de supporter cet album d'un artiste que je connaissais de nom, sans plus, mais que je découvrais par hasard grâce à une chronique d'un de ces live figurant en première page du site. Bref, je regarde alors la discographie de la bête, pour me rendre compte qu'il s'agit plus d'un monstre, un vrai monstre de scène depuis 40 ans...
Je m'intéresse alors à "Trash" qui a la note la plus mauvaise. Et je peux comprendre que des grands fans l'éjecte aussitôt de sa discographie : à cause du son, on jurerait entendre la base rythmique d'un BON JOVI, les guitares d'un AEROSMITH et la voix de Steven Tyler en un plus rauque.
Je ne le trouve pourtant pas pour autant mauvais, mais juste moyen. ll y a du bon, du très bon même, avec "Poison", magnifique mais que la production rend un peu faiblarde sur le premier refrain (dommage), le très rock "Why Trust You", et "This Maniac's In Love With You" dont j'adore le refrain. Côté juste bon on a "Spark In The Dark", plaisant à écouter. Egalement "Bed of Nails". A la limite "House Of Fire".
Quant au reste, j'avoue que c'est passé plus ou moins inaperçu, excepté l'immense soupe "Only My Heart Talkin'" en duo avec le maître de la ballade pour bande-originale de film, j'ai nommé Steven Tyler, qui prouvera son immense talent dans ce domaine (ironique) plus tard sur "Get A Grip" avec AEROSMITH.
Moyen : 2,5/5
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