 |
|
Moyenne établie
sur la base de
29 commentaires notés [?]
Dream Theater
Systematic Chaos
| |
|
Page 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 |
|
le 05 Juillet 2009 par JUDAS
Non, je n'y arrive pas. J'ai beau écouter l'album en mettant de côté mes gouts musicaux et mes attentes envers le groupe, je ne m'y retrouve pas. C'est mou, insipide, chiant, niais... bref, j'ai l'impression d'écouter du mauvais Calogéro ou autre représentant de musique soupesque guimauvée à mort. Où sont les lignes de chant entrainantes d'antan? où sont les mélodies qui m'ont fait aimer ce groupe? les ponts dantesques? Nan, a pu !
Tenez, "the ministry of lost souls" est pour moi l'exemple type : gratte sèche, piano, chant soporifique, le tout qui dure 2 heures pour péter tout d'un coup dans un solo certes sympa, mais j'ai déjà décroché bien avant. Oui, ça dure depuis Octavarium. Pour moi qui ai déjà du mal à décrocher de Live Scenes... J'ai mal au cœur en entendant cette mixture indigeste et dépourvue du génie d'antan.
Pour paraphraser Sam, quand j'écoute un titre comme "Voices" derrière, cet album prend une ronflée phénoménale. Rien que dans ce seul titre, les émotions sont bien plus intenses que dans le couple Octa/Chaos. A cette époque, l'ami Petrucci savait faire pleurer sa guitare et nous avec. Même les 'enemies' me laissent de marbre. Bref.
Déception pour moi, je range et on en parle plus.
|
|
|
|
|
le 30 Juin 2009 par CHIPSTOUILLE
Je ne saurais pas encore me prononcer sur le petit dernier, mais celui-là il est rempli de caca tout moisi.
DREAM THEATER et son revival Pantera à la mord-moi-le-zigouigoui: On aligne une succession d'un seul accord pourri tout en se perdant en circonvolutions inutiles par la suite. Avec un chant poussif au possible et absence totale de consistence (c'est du caca mou, oui). Pile poil dans la ligne droite de ce que reprochent les détracteurs au groupe.
Poubelle.
|
|
|
|
|
le 14 Mai 2009 par KID66
Systematic Chaos se présente un peu comme une synthèse des trois précédents albums du groupe. On y trouve des pièces longues et fouillées comme dans Six Degrees Of Inner Turbulence, des titres très Heavy à la Train Of Thoughts, mais aussi des réminiscences d’Octavarium dans les morceaux les plus accessibles qui mettent en valeur le chant. On y retrouve également la fibre épique perceptible dans les deux derniers opus de la Dream Team. Je trouve Systematic Chaos très bon, et mon avis assez proche de celui de Dark Schneider.
Les deux bouses de l’album sont clairement « Constant Motion » et « The Dark Eternal Night », en dessous de tout ce que le groupe a pu faire sur Train Of Thoughts (même de « This Dying Soul »). Le premier est un tube insipide sans le moindre intérêt (et quel refrain de merde). Le deuxième, légèrement plus intéressant au niveau du break et doté d’un refrain meilleur que celui de son aîné, reste tout de même une déception. Aucune âme.
En revanche, les 25 minutes de l’épique « In The Presence Of Enemies » sont absolument grandioses et constituent pour moi l’une des meilleures pièces jamais composées par le groupe. Là c’est du grand DREAM THEATER ! Félicitations à James LaBrie qui prononce ses superbes lignes de chant avec beaucoup de classe.
Le reste des titres est de très bon niveau. « Forsaken » est un beau morceau, accrocheur et plutôt inspiré. « Repentance », le morceau le moins évident du disque, en apparence dépouillé mais finalement très riche, est excellent (quel solo ! sublime). « Prophets Of War » est un plagia pur et simple de Muse et n’a rien de progressif, mais se révèle extrêmement accrocheur. Enfin, « The Ministry Of Lost Souls », bien que simple dans sa structure, est une magnifique pièce progressive, chargée d’émotions et de feeling.
Petrucci, n’est toujours pas au meilleur de sa forme (bien que qu’il soit bien meilleur que sur Train Of Thoughts), mais réserve tout de même quelques soli pleins de feeling (« ItPoE », « TMoLS », « Repentance »). Rudess est assez convaincant, même si je le préférais dans Six Degrees Of Inner Turbulence. LaBrie nous gratifie d’une prestation vraiment plus qu’honorable, Myung fait son job et Portnoy est à nouveau magistral. Pas ou peu de surenchère technique, les parties instrumentales sont globalement bonnes.
Un très bon album.
|
|
|
|
|
le 17 Avril 2009 par VIKTOR
Petit complément par rapport à mon commentaire précédent car ma conclusion me parait ridicule après coup ("Note 4,5/5 car le groupe a un passé très riche"), je lui est donné une note de 4,5/5 sans trop réfléchir parce que de toutes façons ce n'est pas ça qui changera le schmilblick, mais si je devais aligné cet album par rapport aux Awake/SFAM/6DOIT c'est un 2/5 que je lui donnerais. C'est un bon album mais qui n'a rien de révolutionnaire comparés à ces grands frères, ça fait plaisir en cette "période de misère musicale" mais il faut avouer que le grand DREAM THEATER se la joue facile (volontairement accessible) pour la 2ème fois consécutive.
Sur ce, je lui retire une étoile.
|
|
|
|
|
le 17 Avril 2009 par VIKTOR
Difficile de définir ce que représente ce Systematic Chaos par rapport aux albums précédents du groupe, pour la bonne raison qu'il est difficile de faire un lien entre les morceaux présents sur la galette. Systematic Chaos est-il un fourre tout ? C'est l'impression que j'en ai, cela dit ça n'a rien de négatif car Awake (fais le signe de la trilogie toute puissante) était également un fourre tout à son époque.
"The dark eternal Night", technique, brutal et raffiné tout à la fois, "Constant motion" dans la lignée du Power Metal d'un MACHINE HEAD sauce DREAM THEATER. "The ministry of lost souls" et sa touche romantique hollywoodienne, "Prophets of war", qui malgré un titre menaçant, est plutôt fun (oserais-je le qualifier de Dance Metal ?) afin de s'accorder avec le "fight the fear" du refrain. "Repentance", plus intimiste, quelque peu lugubre ou "In the presence of enemies", longue pièce de Metal épique. Ça fait un sacré mélange d'influence tout de même et le plus dur pour ma part, fut d'accepter l'album dans son intégralité, une fois ceci fait, j'étais convaincu de la qualité artistique de la chose.
Je pense en fin de compte que le seul point commun qui uni les morceaux est la qualité musicale, quel que soit le style pratiqué tous les quatre sont irréprochables, les structures sont moins complexes que sur le sacro-saint SFAM (fais le signe de la trilogie toute puissante) mais n'en sont pas pour autant dénuées d'originalité et résistent très bien à l'usure du temps.
Des défauts ? Oui deux petits, "Forsaken" trop tubesque, a tendance à saouler, mais du haut de ses 5 minutes il ne représente qu'une goutte d'eau sur la surface de cette galette. Puis l'ordre de programmation que je trouve brouillon (Pourquoi avoir coupé la master-piece en deux ? "Repentance" passe mal après "la tornade de feu"), un petit coup de télécommande (7, 6, 5, 2, 3, 4, 1 & 8) et voila qui est beaucoup mieux.
Coup de cœur pour "In the presence of enemies" bien sur, monstruosité à 6 têtes, pardon, en 6 actes s'étalant sur plus de 25 minutes, c'est beau, c'est violent, c'est passionnant, ça fait hérissé les poils de la tête. Quand le morceau est finit, on a des étoiles pleins les yeux, on réalise à peine, c'est le Change Of Seasons des années 2000, le Théâtre fait rêver une fois de plus. Je ne peux que m'incliner, ils sont très forts.
Note 4,5/5 car le groupe a un passé très riche, que j'arrondis à 5 parce que euh.. (My soul is yours Dark Theater)... Il y a un morceau vraiment exceptionnel sur cet album.
|
|
|
|
| |
