Dave Suzuki est monstrueux sur cette galette, c'est indéniable. Et ce cher monsieur Benton est lui aussi au sommet de sa forme. L'on a ainsi droit à un Death des plus bestiaux, turgescent de rage, et tout cela mêlé à de sublimes solis, des plus inspirés. Une ambiance martiale, conquérante, quasi-épique, est ainsi formée en ce redoutable creuset. Alors malgré certaines redondances, l'on ne puit qu'applaudir cet effort !