Ah. Oui. Somewhere in Time, hmm.
On le tient finalement, LE grand IRON MAIDEN. Il n'est pas antérieur, et encore moins ultérieur (à long terme, tout du moins) à Somewhere in Time.
La seule véritable fausse note ici est ce "Alexander the Great" très pénible et répétitif à la longue. D'autant plus qu'en terme de compo épique finale, le groupe a fait bien mieux sur les trois disques précédents ("Hallowed be thy Name", "To Tame a Land", "Rime of the Ancient Mariner"), c'est quand même dommage.
Bon, et ensuite ? Tout a été dit. Histoire d'éviter une accumulation d'éloges qui serait superflue, autant dire que "The Loneliness of the Long Distance Runner" est vraisemblablement mon titre préféré du groupe. Oui, cette chanson dont on parle finalement peu, avec ce riff en harmonie parfaite avec son thème, n'admet aucune rivale dans mon cœur. Et seul IRON MAIDEN en était capable.
Finalement... Somewhere in Time ne devrait-il pas plutôt s'appeler... "Everywhere in Time" ?