Ah ! Le cirque ridicule du Hair Metal US de la deuxième partie des 80’s, symbolisé par les minettes de Poison ou autres emplumés dans le c..! Une époque maudite au niveau du bon goût !
Le grunge n'est pas apparu pour rien, car, en toute honnêteté, quel est le "kid" de l'époque qui se reconnaissait dans un "tatooed millionnaire" tel Bret Michaels, perruqué, permanenté et vêtu comme un travesti, au bagage musical de surcroît carrement limité, voire indigent, et aux compositions calibrées pour ne surtout pas effrayer les minettes pré-pubères américaines qui constituaient l'essentiel de son public ? Quelle horreur! Sur ce point, Kurt Cobain fut le Sauveur de notre musique !
Et ce C.C Devile, ainsi que d’autres gogos à la culture musicale balbutiante parmi ses fans, persuadé de jouer du « blouse » parce qu’il alignait sans feeling quelques gammes pentatoniques sur sa "floyd rose" fluo floquée d’une décalcomanie de blonde aux gros seins refaits ! Keith Richards en rit encore aux éclats dans sa chaumière, et Robert Johnson (qui ça ? Non, non, pas Don Johnson de Miami Vice, C.C…) s’en est retourné dans sa tombe… également de rire, rassurez vous !!
Au moins, on ne pouvait pas leur retirer ça : ils étaient « fun » finalement, ces « garçons » ! Ah, ça oui, Ils nous ont fait bien rire !
Poison, c’était au Hard ce qu’était "Cocoricocoboy " à l’humour : « qui se ressemble, s’assemble » n’est-il pas ? Allez, un petit 1/5 rien que pour ça !