Recherche avancée       Liste groupes



Moyenne établie
sur la base de
48 commentaires notés  
[?]



Dream Theater
Images And Words
Page   1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 |

le 25 Juillet 2009 par BLACK DIAMOND


En cette année 1992, en pleine période grunge, sort Images And Words, album aux antipodes du genre puisque très technique. Et oui, les membres de DREAM THEATER sont de véritables virtuoses.

Contrairement aux albums à venir, les musiciens ne sombrent pas dans la démonstration technique inutile. Il y a toujours de la branlette de manche de la part de John Petrucci, certes, mais aussi du feeling. Et c'est bien là que repose l'intérêt de cet album, capable de convaincre les non adeptes du prog.

L'album est globalement accrocheur, que ce soit la célèbre "Pull Me Under", "Take The Time" ou encore la magnifique "Metropolis Part I: The Miracle And The Sleeper". "Learning To Live" est également un titre très solide bien qu'un cran en dessous des morceaux mentionnés précédemment. Par contre, "Under A Glass Moon" s'avère complètement anecdotique.

On regrettera aussi qu'il y ait trop de ballades, peu convaincantes qui plus est, excepté la première, "Another Day", vraiment belle. Les deux autres, "Surrounded" est ennuyeuse et "Wait For Sleep" m'est totalement passé inaperçue.

On tient là un très bon disque de Metal Prog. Certainement l'un des meilleurs de DREAM THEATER, mais aussi du genre.

le 06 Juin 2009 par CHISI


DREAM THEATER....Ah DREAM THEATER !!! Je lui met cinq à tout ses albums sauf celui là, qui parmi les perles comme "Awake" ou "Falling into infinity" fait vraiment tâche...
Heureusement l'apogée de la gnanganterie de DREAM THEATER ne durera que un seul album qui reste tout de même un DT. Mais le meilleur des groupes de prog peut faire le pire des albums....
Sombre présage qui malheureusement se réalisera..
Je crois qu'il n'est pas nécessaire de dire son grain de sel sur chaque chanson, mais plutôt, en parler comme un tout : je dois avouer que certaines chansons (elles sont d'ailleurs les seules) sont bien : "Pull me under" et "Metropolis part 1". D'autres comme "Learning to live", "Another day" et "Surrounded" (autrement dit les ballades) elles par contre me terrassent d'ennui, puis d'autres comme "Under a glace moon" ou "Wait for sleep" ou encore "Take the time" sont des chansons qui ont glissé sur moi sans vraiment me laisser d'impressions, donc.....

2/5. Mauvais album. Et l'étoile que je lui accorde en plus de la 1er est due "A pull me under".

le 03 Mars 2009 par BUPIE


Une des grosses claques musicales de ma vie avec cet album fédérateur, capable de rassembler les fans de prog, de métal et de rock tout court.

Pour moi, un des deux chefs d'oeuvre du groupe avec ... "Six Degrees" (ben oui, j'ai toujours eu du mal avec "SFAM" que je raccourcirais bien d'une petite demi-heure).

Quand on pense que la même année, on a eu droit au "Parallels" de Fates Warning et, dans une bien moindre mesure au "Roll The Bones" de Rush, on peut dire que 1991 a été une belle année pour le metal prog !

Dommage qu'à la différence de Rush et Fates Warning, DT n'ait pas confié l'artwork à Hugh Syme mais bon, rien n'est parfait en ce bas monde ...

le 06 Février 2009 par KID66


Franchement, je me demande comment tous les préjugés portés sur le Metal peuvent encore exister, après la sortie l’album album pareil.
Avant d’acheter Images & Words, j’avais déjà beaucoup écouté « Pull Me Under », l’un des meilleurs morceaux de Prog jamais écrit. Dès les premières secondes, une émotion puissante et indescriptible vous emplit, pour encore davantage s’intensifier durant la montée instrumentale. Les lignes de chant arrivent, Labrie excelle, ce qu’il fera d’ailleurs dans tout l’album. Le premier break, plus agressif et d’autres éléments (le riff surtout) donnent à « Pull Me Under » un côté Heavy assez prononcé. On complète tout cela d’un refrain digne d’un hymne et d’un solo d’anthologique, avec technique, mais surtout feeling. Magistral.

Le reste de l’album est du même acabit, ce qui le rend quasiment parfait. La ballade « Another Day », bien que commerciale (admettons-le), est absolument magnifique et touchante, avec les passages au saxophone, les lignes de chant superbes et extrêmement prenantes. Le solo également, est à en pleurer. Voilà un solo comme les amateurs de feeling vont aimer. L’excellent « Take The Time » prend la relève, un déluge instrumental d’une dynamique imparable, pas ennuyant une seule seconde, et avec un duo refrain/final fédérateur. La première partie de chant est très étonnante, et est un témoin (pas le seul de l’album, mais tout de même assez marquant) de la diversité du groupe.

Deuxième ballade, toutefois plus remuante, « Surrouned » est également splendide, après une intro piano/voix de toute beauté. Les riffs mélodieux et le chant envoutant de Labrie s’occupent du reste, pour un résultant absolument pas ennuyeux et très plaisant. Le solo également, est d’un optimisme vraiment réjouissant.

Arrive enfin « Metropolis Part 1 », un chef d’œuvre. Pourtant pas évident du tout, notamment grâce à une partie instrumentale centrale au début pas accrocheuse (mais vraiment pas). Ce titre de 9 minutes contient au final tous les éléments qui font que l’on qualifie une pièce Prog de chef-d’œuvre. L’intro est majestueuse et envoutante à souhait, les lignes de chant sont tragiques et magnifiques. Le fameux break est extrêmement dynamique et ne laisse pas une seconde de répit. Le batteur, bien qu’excellent tout au long de l’album, se révèle particulièrement monstrueux.

Plus traditionnel, le très bon « Under The Glass Moon » prend la relève. Accrocheur et doté d’un excellent refrain speed, ainsi que d’une partie instrumentale sous tension de qualité, il s’agit de l’un des titres qui m’a tout de suite plu, même si au final il est le moins parfait de l’opus.

Rien que les 10 premières secondes de « Wait For Sleep » me transportent, l’ensemble formant une belle mais courte ballade assez triste, mais claire, qui introduit le long « Learning To Live ».
Parlons de ce dernier titre. Eh bien j’ai cru que je n’y arriverai jamais avec lui. Jamais un morceau ne m’avait causé autant de difficultés d’appréciations. Mais les écoutes répétées (encore et encore et encore !) m’ont finalement amené à maîtriser ce morceau, jusqu’à le trouver prodigieux. Je n’arriverai pas à le décrire mais je soulignerai juste un passage que j’adore particulièrement : le final avec la guitare et les chœurs. Frissons garantis…

…Durant tout l’album d’ailleurs. Un chef d’œuvre absolu, tellement proche de la perfection que ça en devient flippant. Parfois on est fatigué et on écoute cet album, et le plaisir n’est pas le même que la dernière fois, moins intense, et on flippe (NAN ? je me suis lassé ???). Il n’en est rien, et l’écoute suivante le confirme. A moins de se le faire 4 fois par jour, comment se lasser d’une heure de musique aussi riche, belle, claire et variée ? Et puis il y a cette ambiance, cette âme, cette émotion…

PS : tous les musiciens sont des monstres, et, bien que très techniques, il y a un certain équilibre entre technique et feeling, ce qui rend l’album difficile d’accès, mais pas ennuyeux, pas gavant, pas stérile.
PS2 : maintenant j’ai peur d’acheter un deuxième DT, il sera FORCEMENT inférieur à celui là !

Bravo. 6/5.

le 06 Novembre 2008 par GUIGUI


Bon, on va pas tergiverser, cet album est une bombe.
Citons de véritables monuments de prog comme "Pull me
under" , "Metropolis" et surtout "Learning to live", de vraies pépites avec des musicos géniaux. John Petrucci mériterait d'être ainsi mieux reconnu car nul doute qu'à l'écoute, on peut sans problème affirmer que c'est l'un des tout meilleur guitariste de metal et même un des meilleurs guitaristes tout court !
La ballade qui a fait couler beaucoup d'encre "Another Day" est formidable également ! D'une beauté envoûtante ! Elle est très ricaine cependant donc le malaise qui a pu s'emparer de certains est compréhensible.
En tout cas cet album est une merveille, point barre.














1999 - 2024 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod