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16 commentaires notés [?]
Dream Theater
Dream Theater
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le 07 Juillet 2014 par FRANCK
Absolument pas d'accord avec la chronique.
Cela fait maintenant vingt ans que DREAM THEATER ne sort plus des albums comme "Awake", il faut vivre avec son temps et ses tendances. Cet album est pour moi très bon et très soigné niveau compos ; il est très différent que la fougue ambiante qui régnait de 1992 à 1999 c'est un fait, mais de le descendre parce qu'il est d'une autre époque, c'est franchement abuser. Les mecs du groupe frisent la cinquantaine aujourd'hui et ce qu'ils font est tout simplement énorme, en plus d'une prod' impeccable !
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le 30 Juin 2014 par RIFFRAFF
Ma première vraie déception de la part de DREAM THEATER.
Un album rempli de bruit sans fil conducteur avec trop peu de bonnes idées. L'intro est aussi pompeuse qu'inutile. On enchaine derrière avec le tube de l'album "The Enemy Inside". Promo de ouf, nomination aux grammy awards et tout le buzz n'y feront rien : ce titre est aussi bordélique que mauvais. Que dire de cet instrumental "Enigma Machine" ? Un autre titre sans âme et vide. Quel tristesse ce titre ! Autant de génie pour pondre un titre pareil : ça me rend fou. On passera rapidement le triptyque "Along For The Ride", "Surrender To Reason" et "Behind The Veil" qui ne m'inspirent pas grand chose. Au milieu de ce grand n'importe quoi, deux titres sortent tout de même du lot : "The Looking Glass" sorti tout droit de l'époque bénie de "Images And Words" et surtout "The Bigger Picture", une prog ballade puissante et épique. Le seul titre que je peux écouter en boucle. On finit par "Illumination Theory" beaucoup trop longue mais qui regorge de passages très sympas. Mais bon si on veut écouter un titre de 30 min de la part de nos amis Américains, on ira plutôt regarder du coté de "Octavarium" ou de "A Change Of Seasons"...
Un petit mot sur l'ami Mangini qui s'en sort bien. Sa prestation sur "Illumination Theory" est quand même assez énorme. Alors oui il n'a pas le talent de Portnoy (sa prestation sur "Finally Free" à Bercy était à 100 km de celle de portnoy époque "SFAM") mais il a ce mojo qui fait plaisir...
Et le dernier mot pour Fredouille et ses nombreuses critiques qui m'ont bien aidées à me retrouver dans cet univers incroyable qu'est le Metal Prog. HEADSPACE en écoute... Merci Fredouille !
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le 29 Mai 2014 par MIICK
J'ai fait l'erreur d’écouter "Awake" puis ce dernier opus dans leur intégralité... Monumentale erreur !
Bien que "Awake" ne soit pas mon album favori de DT, je me suis laisse tenté du fait de cette "False Awakening Suite". Aucun point commun. La production est vraiment gâchée, et surtout cela fait trois albums que la voix de James Labrie me dérange : il n'y a absolument aucun chant, à part justement sur "The Enemy Inside" où deux facettes de la voix de J. Labrie apparaissent, le reste est d'une monotonie sans nom.
Du coup se distinguent seulement "The Enemy Inside" et l'instrumental "Enigma Machine", qui est construit assez sauvagement mais a ce cote "Misunderstood" alléchant.
Pour ce qui est de la batterie, M. Mangini est définitivement un excellent batteur, seulement le style est différent de celui de M. Portnoy. Et je préfère le côté créatif et artistique de M. Portnoy qui remplissait mieux une palette.
Une énorme déception pour un self-titled album...
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le 11 Mai 2014 par ANJE
Je rejoins le chroniqueur, sauf que contrairement à lui je trouve la production horriblement fatigante. Le son est tellement compressé et la batterie tellement... étrange qu'au bout du 3eme morceau on cherche un moment de calme, qui ne vient jamais car tout est toujours à fond.
Comme Fredouille, "The Enemy Inside" est le seul morceau marquant, alors qu'au départ je l'ai trouvé quelconque, pour dire du niveau... "The Looking Glass" est sympa, mais trop proche de I&W et surtout de RUSH que ça en devient gênant.
En fait, ce qui est embêtant c'est qu'il y a du potentiel, mais pas de direction (et pas de production), et ce depuis "Systematic Chaos" (exception faite de "Dramatic", mais bon c'est "I&W 2"). Au moins on pourra pas dire que c'est à cause du départ de Portnoy !
Ça + le live catastrophique à Luna Park où on entend que Petrucci, je dois avouer que je suis assez pessimiste...
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le 10 Mai 2014 par ALBIRéO
Pas surpris du tout par cette chronique : DREAM THEATER s'enfonce dans le déjà entendu des millions de fois.
Premier élément qui donne le ton : la première chanson (chantée, j'entends) est construite (au niveau de la forme principalement) pour séduire et s'avère à l'écoute complète de l'album être la meilleure. Typique d'un disque dans lequel tout l'espoir du groupe est concentré dans l'entrée en matière. Ça présage un disque médiocre.
Ça n'a pas loupé !
C'est technique, ça envoie, mais c'est vide... Toujours ces mélodies téléphonées, apparentées et impossible à imprimer dans son esprit, ces breaks improbables qui, au lieu de sublimer le propos, le plombe, ces sons horribles de Jordan, ce chant lisse... Le groupe n'a plus d'inspiration, n'a plus la recherche de jouer avec le cœur, n'a plus envie, on dirait.
Et puis, cette batterie qui martèle sans cesse ! Battre juste est confondu avec battre beaucoup. Du bavardage...
C'est le problème de DREAM THEATER : le groupe bavarde. Il ne parle plus.
Ces 10 dernières années, ce phénomène s'amplifiait et au lieu de s'en rendre compte, le groupe s'enfonce pensant que sa voie est dans cette direction.
Curieusement, James LaBrie montre par son projet solo qu'il comprend cela tant ses albums sont bien plus denses en contenu qualitatif.
Je suis fan absolu de la première heure, jusque "Six Degrees of Inner Turbulence" ; après c'est le début de la fin dû à une terrible irrégularité.
Ça me fait mal d'écrire de telles choses au sujet de ce groupe que j'ai tant admiré.
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