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Led Zeppelin
Led Zeppelin Ii
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le 15 Octobre 2008 par LE PAPE


Cet album a changé l'histoire de la musique les seventies ne sont pas encore là, mais Jimmy Page et robert plant viennent d'inventer le hard rock, tous fans de notre musique préférée se doivent de posséder cet album car c'est avec lui que notre métal est né; d'ailleurs personnellement, je l'écoute encore quasiment tous les jours. J'ai gardé le vinyl original parmi mes 2000 (33 tours). En cette année 1969, ce n'était pas seulement l'année érotique pour Brigitte Bardot mais ce fut le choc musical de l'humanité : le hard rock est né. A vos vynils !!!!!

le 15 Août 2008 par DREAMER_DECEIVER


Il fallait bien que cela m'arrive, parler un jour des albums de Led Zeppelin et de leur influence majeure sur le rock électrique.

"II" est sorti en 1969, il y a près de 40 ans aujourd'hui, cela a de quoi donner le vertige tant on a l'impression d'être en face d'un objet préhistorique respectable et fragile.

Led Zeppelin est un groupe précurseur, le pionnier du hard rock, personne ne le contestera.

Peut-on avoir pour autant une oreille critique sur leurs albums sans encourir pour autant une condamnation pour crime de lèse majesté musicale ?

Je m'explique, je n'apprécie le blues qu'à petite dose, cette musique m'ennuie vite, ce qui fait que les délires bluesy enfiévrés à rallonge de la bande à Jimmy Page me sont généralement pénibles à endurer.

J'aime donc Led Zep quand ils innovent et me surprennent pas quand ils sonnent comme des vieux groupe de blues.

"II" démarre sur les chapeaux de roues, "Whole lotta love" et son riff irrésistiblement génial auront marqué de manière indélébile l'histoire de la musique.

Les morceaux suivants sont bons mais trop influencés par le blues pour moi.

Heureusement à partir de "Heartbreaker", Led Zeppelin revient à un style moins pesant... le très guilleret "Living Loving Maid" passe comme une lettre à la poste avec son riff entêtant.

"Ramble On" est bon sans être le meilleur du Zep, le fameux solo de batterie surprend et tout ceci se termine gentiment sur un énième blues agonisant.

Au final un bon album, un titre d'ouverture mythique émergeant au milieu d'un nuage enfumé de blues hard plombé.

Accueil poli et respectueux de ma part mais sans sauter au plafond.

Les 5 étoiles me paraissent donc exagérées à moins d'être un mordu de blues.

le 04 Juillet 2008 par B.D WONG


Nous sommes en 1969. Le monde musical est en plein bouleversement.
On sent les Beatles proches de la fin, on n'a plus revu Bob Dylan depuis bien longtemps, Brian Jones des Stones a trop joué au "Monde du Silence", le rêve Hippy s'offre un dernier round avec le festival de Woodstock, quelques jours après le premier pas sur la Lune. Finalement, c'est le monde entier qui change...

C'est également l'année où une bande de quatre britanniques profitent de la situation pour imposer au public leur son novateur, cette bande c'est Led Zeppelin !
Composé de Jimmy Page (guitare), Robert Plant (chant), John Paul Jones (basse et clavier) et John Bonham (batterie), Led Zep est en fait la continuité des Yardbirds, par où étaient déjà passés Eric Clapton et Jeff Beck. Le groupe étant connu pour son son plutôt lourd fortement imprégné de blues.
Sorti début 69, le premier album de Led Zeppelin eu l'effet d'une bombe, avec des titres lourds (Communication Breakdown, How Many More Times...) mélangés à de superbes pistes acoustiques (Babe I'm Gonna Leave You, reprise de Joan Baez, Black Mountain Side, instrumental de guitare sonnant très Indien). La critique fustige, le public accroche : Début du succès.

Enregistré durant la tournée américaine du groupe (!), la deuxième galette des 4 anglais fait encore mieux que le précédent.
Le premier titre, "Whole Lotta Love" (qui est en fait une reprise d'un blues écrit par Willie Dixon), met immédiatement dans le bain l'auditeur, avec son riff ravageur, un martèlement rythmique, un interlude psyché-orgasmique où Robert Plant se sent décharger tout son jus... LE TITRE de l'album. Mais ça ne s'arrête pas là.
Le morceau qui suit, "What is and What Should Never Be", très slidé, est tout bonnement magnifique, John Paul Jones s'éclatant littéralement avec sa basse.
"The Lemon Song" troisième piste, est juste génial : On assiste à une course effrénée entre Page, Bonham et Jones, ce dernier livrant un solo de basse extraordinaire, très groovy/funky, n'ayant rien à envier aux maîtres noirs de la 4-cordes. Robert Plant achève le travail en demandant de se faire "presser son citron jusqu'à que le jus coule le long de sa jambe" (phrase pompée à Robert Johnson, de son "Travelling Riverside Blues", que le groupe reprendra).
"Thank You", premier morceau acoustique de cet album, est très beau, la voix de Plant, la guitare folk de Page et le clavier de Jones feraient même pleurer les plus fragiles. Mais l'auditeur en a pas fini d'en voir toutes les couleurs.
En effet, le 5e titre du deuxième album des Led Zep est la grosse claque : "Heartbreaker" est lourd, très lourd, on sent que la guitare basse est martyrisée. Mais c'est Jimmy Page qui se met en évidence sur ce titre, avec un solo qui annonce le début à la fois du tapping et du shred, aux accents classiques et bluesy.
"Living Loving Maid (She's Just a Woman)", blues sympathique, passe limite incognito face à ce qu'il reste de l'album.
Car avec "Ramble On", on revient dans l'acoustique et dans le son typiquement britannique, texte Tolkien (on entend Plant dire "Mordor" et "Gollum"), guitare limpide, basse très douce mais tout autant magnifique, et batterie n'intervenant que pendant les refrains. On ne se lasse pas d'entendre la Plante crier avec insistance Ramble On !
On assiste à une première (ce qui n'est pas une surprise compte tenu de l'album !) en écoutant "Moby Dick" (qui n'a aucun lien avec la baleine blanche de Melville) : Un solo de batterie. Le regretté John Bonham maltraite sa batterie comme jamais, jouant même avec ses mains ! Ce titre sera souvent joué en concert, avec des versions dépassant les 45 minutes !
Le dernier titre de Led Zeppelin, deuxième du nom, "Bring it on Home" est un blues lent au départ, la Gibson Les Paul Pagienne donnant le rythme à l'harmonica troublé de Rob Plant, devenant violent par la suite, puis retournant au lent pour la coda, rendant l'âme à cette galette incroyable.

Enregistré dans des conditions pas toujours évidentes (en pleine tournée, qui aurait fait ça aujourd'hui ?), "Led Zeppelin II" est génial par le nombre de nouveautés qu'il apporte, mais aussi par le talent évident qui sort de ce quatuor, chaque membre montrant l'étendue de ce talent. On dit souvent de cet album qu'il est précurseur du Hard Rock, ce n'est pas faux en raison du lourd son produit, de la guitare très saturée de Jimmy Page et d'une voix, celle de Robert Plant, l'un des premiers chanteurs à "hurler", mais à "hurler" exceptionnellement bien.

Un album indétrônable dans la discographie de tout fanatique de Led Zep ; Indispensable à tout mélomane.

le 06 Novembre 2007 par SABELTANZ


"OOaaah... Oah... Aaaah... AAAAhhh... AAAAAAHHHHH!!!" Merde, Robert Plant a eu un orgasme (cf "Whole lotta love")!!!

Sacré bon album, sexy, langoureux!!! "Moby Dick", "Ramble on" et "The lemon song" sont des tueries, impressionnant...

Allez, ecore une fois: "OOaaah... Oah... Aaaah... AAAAhhh... AAAAAAHHHHH!!!" Mais non, je ne regarde pas un film porno, laissez-moi écouter LED ZEP tranquille...

le 26 Septembre 2007 par ECLIPSE


C'est pour moi l'album créateur du son Led Zep. Tout y est définitif dans cet album enfin Hard-Rock même si le blues est encore bien présent.
Whole lotta love, Heartbreaker... on ne se lasse pas.













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