Assurément l'album le plus écléctique du Zep, moins foncièrement hard mais explorant le progressif, le funk voire le reggae. "Houses of the Holy" reste une expérience à part dans la discographie du Dirigeable, comme une sorte de bouffée d'air frais et bigarré. Un album avec son lot de classiques, "The song remains de same", "The rain song" et l'intemporel "No quarter" repris il y a quelques années par Tool.