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ELECTRO GOTH/POP METAL  |  STUDIO

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THEATRE OF TRAGEDY - Assembly (2002)
Par KARL VON KARL le 16 Novembre 2008          Consultée 5494 fois

Intro à la AAARGH:
Je sens ton petit cœur qui s'emballe ami lecteur et tu as bien raison. Comme moi tu es sensible aux yeux de biche et aux formes généreuses de Liv Kristine. Alex KRULL n'est pas dans le coin au moins ? Ce grand dindon peut bien nous la prêter cinq minutes. Après tout, le Metal Gothique on l'aime aussi pour ça non ? Un peu épicé, pas trop méchant, avec une pincée de sensualité féminine. Mais je n'en dirais pas plus, non ! N'insistes pas ami lecteur, retrouves-moi simplement à la fin de cette chronique.

Intro à la ROOTS PACO ROOTS:
A l'instar des dernières boucheries de DEFENESTRATOR ou de WAMPYRICON RESSUSCITATOR, ce skeud me procure également d'étranges sensations : de puissantes dilatations anales particulièrement plaisantes toutes les 15 secondes. Une onde orgasmique intense remonte du côlon et dans un spasme délicieux, elle vient mourir au bout de mon pénis violacé. Mais comme dirait notre regretté Sergent Chef John Lee Steven Smith:" Y a pas d'pédé dans la Police !!"

Intro à la moi:
Avec "Assembly", THEATRE OF TRAGEDY poursuit les travaux entrepris sur l'excellent "Musique" (2000). A quoi doit-on s'attendre précisément ? Et bien comme le suggère la pochette technoïde et urbaine, le son a encore sensiblement évolué. Ce dernier se révèle nettement plus fin, légèrement plus électro, mais toujours avec un judicieux travail sur les guitares metal bien présentes.

Comme dans l'opus précédent, la voix de Liv Kristine s'incarne dans un registre rock/pop subtil et nuancé. En effet, comment rester de marbre en entendant ce timbre si particulier, sublimer des textes d'un intérêt limité, avec tant de sensibilité et de maîtrise. Oui, le chant de Liv ne fait qu'un avec la musique distillée par le groupe. Et bien plus que par le passé, cette association devient incontournable pour tout amateur du genre.
Le point fort de l'album, mis à part l'interprétation exceptionnelle de notre blondinette, est sans conteste l'inspiration indéfectible de cette fripouille de Raymond Rohonyi. Ce personnage central dans la vie du théâtre demeure quoi qu'en disent ses détracteurs, un sacré compositeur et un mélodiste hors-pair.
Grâce au bonhomme, Assembly devient sans complexe une véritable machine à tubes.
Le combo parvient, à l'aide d'un surprenant philtre secret, à auréoler ses chansons d'un halo bénéfique qui semble éloigner sans difficulté toute mièvrerie et médiocrité aux alentours.
Le résultat obtenu a un nom: c'est le talent.
Et le bonheur est assuré pour l'auditeur suffisamment ouvert d'esprit pour apprécier les sons lorgnants vers la scène electro Dark. Afin de vous donnez une idée, les artistes référentiels dont l'influence parait ici indéniable sont les prodigieux ZEROMANCER.

L'album s'ouvre sur "Automatic Lover", un mid- tempo entraînant avec un chant déclamé de Liv plus grave que de coutume, le tout est parsemé de riffs tranchants. Celui-ci est enchaîné avec "Universal Race" décapant et hymnique, très dynamique, avant que le puissant "Episode" au riff mémorable ne prenne le relais. Notons que la voix de Raymond s'est considérablement améliorée depuis le dernier enregistrement, rappelant par instant et dans une moindre mesure, un phrasé à la Bruno Kramm (DAS ICH).
"Play" nous fait découvrir une facette plus atmosphérique toujours avec une recherche exemplaire sur les sons électroniques cristallins, disséminés sur toutes les compositions de ce "Assembly" fort appréciable.
Après un "Superdrive" plus calme mais gracieux, nous vient un "Let You Down" ultra accrocheur avec ses guitares tournoyantes, sa mélodie au synthé si addictive et son refrain tout en retenue. Cette bombe est suivit du mélancolique "Starlit" qui précède le magistral "Envision", fédérateur aux fantastiques mélodies. Constat identique pour "Flickerflight" qui possède un gimmick au clavier absolument percutant. L'album se clôt par "Liquid man" et la ballade "Motion", deux caresses définitivement moins marquantes, mais tout de même sympathiques.

THEATRE OF TRAGEDY a su nous convaincre à chaque fois qu'il effectuait une mutation. Des débuts Doom à l'Electro, en passant par le Metal Gothique, toutes les étapes se soldaient par un succès en terme d'inspiration et de qualité d'interprétation. "Musique" et "Assembly" ne sont-ils pas étrangement les points culminants de cette passionnante ascension ? Dans tous les cas ne boudons pas notre plaisir, car dans ce style si délicat, les albums réussis ne sont finalement pas monnaie courante.

Conclusion à la CANARD WC:
THEATRE OF DAUBE c'est le monde des Bisounours. J'ai jamais serré le poing en miaulant "Der Tanz Deerr Schatteennn !!" Donc voilà, THEATRE OF MERDE c'est un truc de false.
Nous les WARRIORS, nous préférons nous masturber en criant:
"RIDE LIKE THE WIND, FIGHT PROUD MY SON, YOU'RE THE DEFENDER GOD HAS SENT !!"

Conclusion à la POSSOPO:
Ah zob, je me suis gouré de chronique. THEATRE OF TRAGEDY n'est ni bon ni mauvais et mérite à peine qu'on en parle. Evidemment on est loin du caveau putride d'un VLAD TEPES. "Assembly" est tellement inutile et caca beurk que le pré-pubère y trouvera peut-être un quelconque intérêt.

AAARGH (suite)
Coucou me revoilà ami lecteur; les morceaux qui crucifient sa mémé:"Universal Race","Let You Down"et "Envision".
Le morceau de pop sucrée qui passe très bien:"Play".
Le morceau qui sert à rien:"Motion".
Le morceau lourd qui déchire les rideaux du salon:"Episode".

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   KARL VON KARL

 
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- Liv Kristine Espenaes (chant)
- Raymond I. Rohonyi (chant)
- Frank Claussen (guitare)
- Vegard K. Thorsen (guitare)
- Hein Frode Hansen (batterie)
- Lorentz Aspen (claviers)


1. Automatic Lover
2. Universal Race
3. Episode
4. Play
5. Superdrive
6. Let You Down
7. Starlit
8. Envision
9. Flickerlight
10. Liquid Man
11. Motion



             



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