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4 commentaires notés [?]
Dissection
Maha Kali
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le 20 Août 2006 par M0RBID
Le texte, en particulier le début du texte consacré à cet album de Dissection, prend désormais un sens particulier à présent que l'on connaît la nouvelle du suicide de son leader, Jon Nödtveidt.
A ceux et celles qui s'interrogeraient sur les raisons d'un tel acte, à supposer que nous puissions vraiment les connaitre, je rappellerais seulement qu'en mai dernier Jon Nödtveidt avait annoncé le futur split du groupe, estimant avoir exprimé ce qu'il avait à exprimer. A mon sens, c'est certainement surtout de ce côté qu'il faut chercher des "explications".
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le 12 Janvier 2006 par FUCKLALIFE
quand j'ai vu la note donnée à ce single, j'ai vraiment cru que c'etait une catastrophe. vous êtes pas bien ou quoi ? y'a rien de gravissime, c'est du death comme on entend souvent certes, mais où est le probleme, ça reste de qualité et les fans du genre ne devraient pas cracher dessus.
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le 09 Avril 2005 par L'IMMORTEL
C'est un commentaire suite à la question que j'avais posé à propos de la date de sortie du nouvel album.
Je voudrais juste signaler que Dissection serait entré en studio le 2 février pour l'enregistrement, donc la sortie de l'album n'est pas pour tout de suite
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le 01 Février 2005 par JULIEN
La platitude Death mélodique qui sert de colonne vertébrale à ce nouveau morceau, "Maha Kali", ne saurait promouvoir la complexité structurale qui s'inscrivit de tout temps au coeur même de l'anatomie musicale des suédois de DISSECTION. Cette assise travaillée, dont il est fait ici l'économie, pourfend mes maigres espoirs d'un retour triomphal - comme celui opéré par EMPEROR avec le mini-cd "Reverence" - et nous esquisse une pièce mid-tempo dont j'ai l'impression qu'elle eût pu se voir troussée par n'importe quel "sous IN FLAMES" (groupe que j'apprécie au plus haut point)... Et les vapeurs bien peu capiteuses exhalées par quelques vocalises féminines ne me sauvent pas de la déréliction... dans son égarement, DISSECTION s'adonne même à l'intolérable péché d'un quasi saccage, en conférant un vernis propret au ténébreux "Unhallowed"... un morceau purement monstrueux extrait de l'indépassable "Storm Of The Light's Bane"... amputé, dans cette nouvelle version, de son final hypnotique...
Honteux, ce single me ferait presque frémir... A vrai dire, j'ai toujours nourri une certaine incrédulité quant à un retour spectaculaire de Jon Nodtveidt (puisque c'est bien de celà dont il s'agit avec ce "Rebirth Of DISSECTION")... et ce pauvre faire part musical amoche la légende davantage qu'il ne la sert... Aussi, pour exigeante qu'elle puisse apparaître - mais bon, nous parlons de DISSECTION -, j'adhère à l'excellente chronique ici présentée, dans sa livrée stylisée... chronique à la richesse inversement proportionnelle à celle de ce single... J'éprouve donc les plus grandes inquiétudes quant à l'arrivée prochaine de l'album... puissé-je me fourvoyer en de bien pénibles augures...
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le 17 Janvier 2005 par MOX
Hurlons avec les loups ce soir...Jon Nödtveidt a composé de superbes morceaux, a mélangé des mélodies tout à fait accessibles avec un sens du déferlement de violence qui m'a charmé, même très charmé. Inutile d'en rajouter, vu que tout le monde a déjà tout dit sur le sujet. Mais je souhaitais préciser mon attachement aux deux vrais opus des "créateurs" du "dark-metal" (...).
Mais quand est venu l'extrait du single il y a de cela quelques mois, je mis plusieurs minutes avant d'accepter la fatalité: je ne m'étais pas trompé de téléchargement. Dissection, ou plutôt Rebirth of Dissection, venait de s'abaisser à la facilité, au métal bon marché, qui se vend sans trop de difficultés. Mais on a vraiment fait mieux dans le genre que cette espèce d'étron flotteur, vague musique sans relief, où basse et batterie entament un rythme mid-tempo des plus éculés, où les guitares ne fustigent désormais plus aucune oreille, où le chant toujours éraillé ne parvient pas à insuffler aux instruments ce goût du froid et du cinglant dont Dissection se faisait l'heureux apôtre.
C'est quand on entend ces guitares plates qu'il vous vient à l'idée de pouffer de rire et de débuter un déhanchement aussi grotesque que l'ambiance voulue un peu plus orientale que d'habitude (voulue?). Refrain, couplet, refrain...
Du sous-death mélodique, comme n'importe qui pourrait en faire, pas d'accélérations, pas de montées en puissance. Le vide.
La reprise arrive enfin, on souffle un peu. Le son est typé Black à la suédoise, typé MARDUK, on repassera pour les ambiances "anti-cosmiques", les amis!
Mais ne désespérons pas, ceci n'est qu'un single, un misérable morceau qui, et Udufru ne me contredira pas, n'a PAS à être un avant-goût de la future galette. Ou alors on se demandera ce qui s'est passé en zonzon...
CARTON ROUGE!
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