Pour moi, l'excellence de Rondat tient dans cette dichotomie. Il est ami et partenaire de Jean-Michel JARRE, dont vous savez désormais tous que je suis überfan, avec cet amour des synthés, des couches, des fréquences et du détail millimétré.
Mais il peut aussi offrir son dernier solo à un Michel Petrucciani en piano acoustique live et bare-bones qui sonne putain de bien et est réellement à sa place. "On The Edge" est un chouïa moins génial que "Amphibia" mais c'est comme dire que Natalie Dormer est moins belle que Claudia Schiffer...
Allez je la tente ? À tous les shreddeurs qui veulent placer trois trilliouzes de notes à la seconde sans un atome de feeling, j'ai une question : ... on n'attend pas Patrick ?!