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Judas Priest
Unleashed In The East
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le 07 Novembre 2010 par DOUBLET

Qu'est-ce que tu racontes Nemo ?
Le groupe a déjà expliqué que les seules parties reprises sont certaines vocalises de Rob Halford qui était malade le soir de l'enregistrement. Ce n'est pas un enregistrement en studio avec un bruit de public rajouté. Il y a de nombreux bootlegs de cette époque (et d'autres enregistrements de la fin des 70's qui apparaissent en B-sides sur les premiers 45T du groupe) qui témoignent des excellentes prestations du groupe à l'époque et qui rendent parfaitement justice à ce disque.
Je te renvoie également au DVD "Live Vengeance 82" pour ce qui est des performances de Rob à l'époque.
C'est sûr qu'aujourd'hui à 60 ans passés, il ne pousse plus autant dans les aigus mais est-ce si étonnant ?

Enfin bref, les mauvaises langues peuvent dire ce qu'elles veulent, ce live reste mythique même s'il manque "Beyond The Realms Of Death", "Dissident Agressor" et "Delivering The Goods" ("Hell Bent For Leather" apparaît sur la version remasterisée) pour que la playlist soit parfaite.

le 30 Mai 2010 par NEMO


"Unleashed in the studio" ou comment notre cher JUDAS (qui mérite içi bien son nom) décide de réenregistrer ses meilleurs morceaux en collant un vague bruit de public derrière (pas trop quand même).
Le résultat ? Son meilleur album, ni plus ni moins, mais qui n'a pas grand-chose à voir avec un "live". Plutôt un best-of. Notre Robby est un chanteur très surestimé, il suffit pour cela de se farcir sa version de "Paranoid" avec BLACK SABBATH en live (sur le net, encore disponible il y a quelques semaines). Encore une légende qui chute. En live, c'est vraiment pas ça !

le 08 Mai 2009 par FRANK LECLERCQ


A noter que les bonus de cette version de 2001 étaient disponibles en 1979 dans une édition japonaise (en vinyle bien sûr); ces bonus étaient fournis en supplément sur un petit maxi-45tours. On pouvait l'avoir relativement facilement en import. Cette édition japonaise constituant alors ce qu'on considérait à l'époque comme la "version complète" de cet album live, la notion de bonus n'existant pas à l'époque.

le 17 Mars 2009 par SISCO


Pas de live hors du Unleashed in the East, voilà la quintessence du métal, la substantifique moëlle de notre musique : des solos à revendre, des refrains à paquet et une voix qui domine tout. Une voix qui, sur les pirates, est aussi puissante donc aucun doute sur la qualité de cette galette. Quel "Sinner" ! Quel... ben rien n'est à jeter. Je n'ai que le vinyl import Japon et dessus il y a un 45 tours quatre autres titres : "Rock Forever", "Delivering the goods", "Hell bent for leather" et l'immense "Starbreaker" du Sin After Sin. Avec 14 titres on a la palette de ce qu'était JUDAS à cette époque, un groupe flamboyant, incandescent, sans concession. Tipton et Downing ont produit des tierces d'un autre monde avec tous deux un style bien distinct et des " attaques " de solo chevaleresque, j'en veux pour preuve le "Green Manalishi", en stéréo, ce qui à l'époque ravissait nos tendres oreilles adolescentes. Allez, si on voulait être tatillon, dans les bonus tracks du 45 tour, le "Rock Forever" est le plus dispensable de tous les titres avec son refrain facile. Mais pas de quoi entacher la qualité d'un disque qui transcende les versions studios. Et puis il y a cette pochette... bon sang combien de kids voulaient un Perfecto en voyant cette image !

le 19 Juillet 2008 par AERONTH

Inhumain. IN-HU-MAIN.
J'en ai presque envie de rire tellement tous les efforts de la NWOBHM me semblent vains, en comparaison de l'œuvre de JUDAS PRIEST au cours des 70's.

Comment donner une note à un tel monument ? Impossible de trouver ne serait-ce qu'un point de référence pour effectuer une comparaison. Aucun autre live de heavy ne transmet autant d'intensité. Comment caractériser... ça ? Plutôt que "puissant" ou "vivant", je dirais "révélateur". Les titres ne sont pas simplement repris en live, ils révèlent toute leur saveur et leur force.

Les quelques 20 secondes suivant la 6ème minute de « Victim Of Changes » sont un véritable concentré d'adrénaline injecté directement en intraveineuse. Et ce solo de « Sinner» ! Et ce « Tyrant », tellement métal !

Inhumain, vous dis-je. Incroyable que le groupe ait pu encore conserver de la crédibilité dans les années 80. Enfin, bien plus que de la crédibilité, d'ailleurs...

Bon et puis zut, disons-le : ce n'est pas un live, c'est LE live. Le heavy n'avait jamais rien connu de tel, et ne le connaîtra pas une seconde fois. C'est peu optimiste, certes... Mais comme dirait l'autre : les optimistes sont des gens mal informés.













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