Encore une très bonne chronique, toujours aussi personnelle, de Possopo, et qui a le mérite de rappeler combien ce triste sire de Varg Vikernes trempe tout à la fois dans la fange que ne peut que générer son discours moisi, et le mépris que ne peut qu'entretenir un individu qui aura su se montrer parfois génial dans son expression musicale, et souvent tout à fait médiocre. Comme ici par exemple. Pauvre Balder... allez, ne réclamons pas la clémence d'Odin : qu'il fasse cramer le Yamaha collection "mon premier clavier" de Varg lors de son retour en prison, après sa vilaine fugue...