Je suis rassuré de lire cette chronique qui me donne envie de retourner dans la fosse aux lions. J'ai acheté cet album six mois plus tôt à l'aveugle, l'artwork digne de la Renaissance ne présageait que du bon. Je l'écoute régulièrement mais impossible de saisir quelque chose hormis "Four Flies" et "A Cursed Black End". Le chant y est pour beaucoup je pense. Particulièrement écorché et épuisant sur 39 minutes. J'y retourne, je sens que la bête faiblit et quand le lion saigne les chacals reprennent courage. (quoi ? on dit "chacaux" ?).