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The Algorithm
Polymorphic Code
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le 21 Janvier 2013 par PAUL6201


Le parallèle avec WHOURKR et IGORRR est intéressant quand on considère que Rémi de THE ALGORITHM et Gautier de IGORRR se connaissent et on déjà collaboré et échangé (Chanson "Infinite Loop" sur "Hallelujah" clin d’œil à une démo de ALGO, Remix de Caros, album "Nostril" de IGORRR par Rémi...).

Bonne chronique, un peu extrême dans certaines remarques, mais c'est une question de goût.

Je doute que l’appellation Djentstep soit "autoproclamée" de manière sérieuse. Pour avoir lu quelques interviews de Rémi et lui avoir parlé, j'en ai retenu qu'il ne croyait pas en la notion de genre musical ou d'étiquette qui codifiait et donc limitait la créativité. S'il y a une chose à remarquer en écoutant cet album, c'est que Djentstep ne suffit aucunement à qualifier le(s) style(s) dont il se fait le porte-étendard.

Il y a certaines influences djent (mot qui m'insupporte au demeurant car désigne un sous-sous genre qui se base sur un son de guitare palm muté et non sur un mode de composition, qui sur-codifie le prog' moderne et ses influences et ne sert en définitive que de goulot d'étranglement créatif pour les groupes qui tentent de copier PERIPHERY, MESHUGGAH ou monuments sans avoir de réelle identité ou de réflexion musicale).

il y a certaines influences dubstep (rebelote qu'est-ce que le dubstep aujourd'hui ?), mais ce serait vraiment ne pas rendre justice à l'album et à la musique de THE ALGORITHM que de résumer son travail par ce mot ingrat.

J'ai pour ma part adoré cet album du début à la fin et n'ai qu'une seule critique à adresser à l'artiste.

Au bout de l'album, quand on sait un peu en quoi consiste le principe de composition, c'est-à-dire flouter les limites entre genres pour moins s'y conformer et prendre les libertés qu'on veut quand on veut, on a quand même tendance à craindre un certain manque de variété dans la composition. Si chaque chanson recèle d'idées originales et qu'elle suit un fil rouge qui explique pourtant la cohérence de la galette en terme de son, on ne peut que souhaiter que ce soit la variété qui rythme de futures productions. Dans le cas contraire, on pourrait apercevoir les contours d'une 'recette algorithm' qui rendrait assez contradictoire l'esprit même du projet.

"Polymorphic Code" n'en reste pas moins un album riche, novateur, étonnant, où Rémi démontre que le projet arrive enfin à maturité. On espère le voir grandir encore prochainement.

Poursuivre l'idée du concept de l'album, je vous invite à faire un saut sur le soundcloud du label Basick Records, où Rémi explique chacune des chansons.

le 21 Janvier 2013 par KAMAZUTRA


La hype sur cet album est quand même bien à vomir, on est vraiment des grands déconneurs nous les Metalheads des fois, au point de voir ce disque chroniqué partout sur les webzines Metal alors que ce truc n'a RIEN de Metal (elle est facile l'excuse des guitares saccadées haha). Pourquoi avoir posté cette chronique ici et pas sur Forces Parallèles ?

Moi aussi je suis fan d'Electro, alors l'album en question ça vaut quoi ? Personnellement j'apprécie beaucoup les mélodies les plus "faciles" et "sages" de l'album, la début du morceau "Panic" est le meilleur exemple mais je trouve que ça sa gâte vraiment dans ses parties "Djent" qui sont vraiment mauvaises (normal c'est du "Djent" (quel adjectif horrible) et que dire des parties "Techno" ? Bah que c'est de la mauvaise Techno des années 90, si si, vous savez cette Techno que tout le monde se mangeait dans la gueule sans aucune finesse, qui faisait que tabasser sans âme, bah ici on y a de nouveau droit et c'est bien dommage.

Pour conclure, un album des plus communs se retrouvant sous une étiquette Metal incompréhensible et une coque Electro quasiment vide. Je vous l'ai dis, les Metalheads sont des grands déconneurs.













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