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Luca Turilli's Rhapsody
Ascending To Infinity
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le 09 Septembre 2017 par CLANSMAN57

Et même pour Verdi, j'ai du mal à saisir le rapprochement et pourtant, j'en connais quelques-uns de ses opéras.
Pour le titre mentionné, à savoir "Tormento E Passione", j'aurais tout simplement mentionné QUEEN, ce qui me parait plutôt flagrant.
Vocalement, on est quand même très loin de ce que peuvent proposer certaines références lyriques...
C'est franchement pas les mêmes cimes qui sont atteintes.

Bref, les comparaisons entre le Metal et le Classique me semblent toujours extrêmement veines...

Sinon l'album je l'avais, il est pas trop mal, mais ce Metal grandiloquent ne me fait vraiment plus chaud ni froid.

le 25 Mai 2015 par CHIPSTOUILLE


Tututu...
C'est pas bien d'aller citer des références au pif dans la musique classique !!

"Quantum X" n'a absolument rien de MOZART, pas même une petite clarinette qui dépasse. Il est d'ailleurs assez risqué de vouloir définir un style pour MOZART dans la musique sacrée, car il s'est beaucoup inspiré d'autres compositeurs (HAENDEL, BACH, PERGOLESE, Michael HAYDN) dans ce genre.
Pour ma part j'entends surtout du JUNO REACTOR ici (mais si... vous avez vu au moins un Matrix, donc vous connaissez). L’électro abrasif, les chœurs grandiloquents et même la petite touche moyen-orientale, tout y est. Pas sûr que l'influence soit consciente, mais les ingrédients sont très similaires.

S'il fallait mettre les chœurs de côté pour retrouver une influence plus "classique", la référence à VERDI était déjà mieux trouvée, bien qu'on soit plus dans une veine XXème, façon Carl ORFF et consort.

Concernant l'album, on retrouve avec joie le TURILLI un peu plus aventureux de "The Frozen Tears Of Angel" avec bonheur, sans l'effet de surprise. C'est un poil mieux que "From Chaos To Eternity" et bien au dessus des errances précédentes. Mention spéciale à la reprise "Luna", qui montre que Turilli assume enfin totalement son influence varietoche italienne. Ça plaira pas à tout le monde, c'est sûr, pourtant elle s'intègre parfaitement à l'album.
Après avoir presque rattrapé mon retard, c'est donc pour la première fois depuis... pfiou... 2001 quand même (ayant alors été successivement refroidit par "King Of The Nordic Twilight" et "Rain Of A Thousand Flames") que j'attends avec impatience la prochaine sortie d'un album avec Luca Turrili... Parait que c'est pour dans un mois... Youpi !

le 17 Mars 2015 par BROEN


Le retour du véritable RHAPSODY !

Par Nightfall In Metal Earth

Merci pour tes avis BROEN. Pour le coup, il aurait été souhaitable que tu étayes un peu ton avis sur cet album, histoire justement de comprendre ton avis divergent avec les derniers albums de RHAPSODY OF FIRE. Cela serait enrichissant !

DS.


le 15 Janvier 2015 par HELLSOLDIER


Trop d'italien tue l'italien !!
C'est le principal et gros défaut de l'album, 80% des textes sont en italien, et pour du "Hollywood Metal" c'est quand même limite ! Cela enlève l’immersion car il faut le dire, l'italien ne parle pas à tout le monde.
M'enfin bon à part ça les compos sont superbes.
À commencer par un sublime "Ascending To Infinity" au refrain épique et aérien où Alessandro Conti montre toute l'étendue de son talent ! Mais quelle voix, quelle pureté dans ses aigus !
"Excalibur" possède un refrain magnifique, malgré les passages en italien qui m'insupportent, et musicalement c'est au top, tout comme ce "Michael The Archangel" aux divers breaks et lignes vocales hallucinantes.
On citera également "Clashs Of The Titans" dans un registre plus agressif et "simple".
Un album donc sympathique, épique, mais gâché par beaucoup trop de textes en italien, qui pour ma part ne font pas trop "crédible" dans des titres plus pêchus.

le 21 Janvier 2013 par HOLYHEAVENLYHERMIT


Enfin la chronique sur un des albums phares de 2012 !!

Un prochain album bientôt après la fin de la tournée de la bande de Turilli et son Cinématique Tour. Concerts d'ailleurs similaires à ses albums, portés sur le côté magistral et cinématographique avec des instruments symphoniques puissants comme sur "Dante's Inferno" ou "Ascending To Infinity" avec des chœurs omniprésents. Il reste la patte du compositeur italien avec ses facettes médiévales ("Excalibur") ou plus progressif ("Of Michael The Archangel And Lucifer’s Fall") qui a d'ailleurs un refrain vraiment épique.
On peut remarquer la fraiche et nette voix du nouveau chanteur dans "Luna" qui a l'occasion de démontrer son timbre. S'y ajoute une très bonne cover de HELLOWEEN ("March Of Time") et une belle intro qui passe d'ailleurs à chaque début de concert. Le seul que j'apprécie moins que les autres reste "Clash Of The Titans" pas très accrocheur, pour ma part, mais l'ensemble de l'album montre une belle volonté de faire du grandiose et on en redemande ! Belle réussite pour ma part que je n'ai cessé d'écouter en boucle lors de sa sortie.













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