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Der Weg Einer Freiheit
Unstille
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le 04 Mai 2015 par NABOMOUETTE


A entendre leur dernier album, je pensais avoir été trompé dès le début. J'ai commencé à douter de moi, à me dire que DER WEG EINER FREIHEIT était bon pour séduire mais pas pour conclure sur la longueur, et qu'ils avaient réussi à m'avoir sur un coup de pute.
Et puis en fait non. J'ai réécouté "Unstille", c'est vraiment très très bon. Dommage qu'ils n'aient pas continué dans la voie de ce Black inspiré mais sans chichis, simple dans la facture et complexe dans l'émotion, qui se la joue Atmo sans non plus en faire des tonnes. Ce groupe en tout cas est déconcertant - ce qui peut être un défaut ("Stellar") autant qu'une grande qualité ("Unstille", ou l'EP "Agonie").

le 11 Septembre 2014 par DOLORèS

@Duroy:

Je compte bien évidemment revenir vous parler du groupe quand j'aurai un peu de temps !

Pour ce qui est de l'étiquette, pour tout expliquer, lorsqu'on entre une chronique sur NIME on choisit d'abord le style dans une liste exhaustive, et on peut préciser celui-ci dans une seconde case. J'avais simplement oublié de préciser le premier choix « Black Sympho / Atmo » (un slash à prendre comme un « ou » je suppose) car non, ça n'a rien à voir.

le 01 Août 2014 par DUROY


J'abonde de le sens de la chronique, un superbe album d'un groupe qui reste ma grande révélation "+/- black" de ces dernières années.
On est selon moi dans la veine très actuelle du "néo black" qui s’affranchit de nombreux clichés inhérents au genre (malgré le logo qui joue la carte du classicisme, pas de pandas peinturlurés ni de références sataniques "j'ai saigné un poulet pour la prochaine soirée dans les bois") tout en gardant l'agressivité et l'aspect désabusé originel.
On a ici du riff simple et très inspiré, toujours dans un registre mélancolico-haineux, accompagné par une rythmique qui blast sec mais qui sait aussi se diversifier (toujours dans le défouraillage, pas de longs intermèdes post coreux) .
La production (très très propre pour le genre) est aux petit oignons sans sonner "surboostée", de l'excellent boulot qui sert vraiment le propos.

Un conseil en passant, jetez vous sur l'EP "Agonie" sorti entre le 1er et le 2ème album, 4 titres et demi d'une qualité exceptionnelle (pour un EP, c'est d'ailleurs surprenant) avec une dernière plage à pleurer...vraiment !
J'espère d'ailleurs que l'amie Dolorès se penchera (en chronique) sur le reste de la discographie du groupe, ça vaut franchement le coup.


P.S : je ne pense pas que l’appellation "BLACK SYMPHO / ATMO" corresponde bien à la musique du groupe.
C'est certainement un détail, mais personnellement, je ne m'y serais peut être pas intéressé en voyant cela, n'aimant pas spécialement les trucs à claviers dans le black (ce que laisse penser l’appellation selon moi ; hors ce n'est pas le cas).

le 30 Janvier 2014 par RAUM


Le chemin de la liberté est simple, propre et froid :
Pas de prod "fond des chiottes", pas de claviers pompeux, pas de lyrics "iveul" ...

Ben alors quoi, c'est pas trve ? On s'emmerde alors ?
Ben non, non plus !

Tout est dans la fugacité ("Vergängnis").

C'est ça les jeunes du "Black Moderne" qui savent que toutes les guerres, tous les blasphèmes, et toutes les K7 mono ont été déjà enregistrés dans les années 90 et qui pourtant font du Black et le font bien.

Les tracks sont relativement courtes et vont à l'essentiel ; de plus, un bon feeling de cendre mélancolique froide et un arrière-goût d'os broyés parcourent tout l'album.

Bref du bon black: 3,5/5.













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