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Accept
Balls To The Wall
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le 30 Avril 2016 par CLANSMAN57


La musique d'ACCEPT prend une tournure plus mélodique.

Cependant, c'est parfois un peu maladroit en ce qui concerne les mélodies, il y a comme un petit hic sur des chansons comme "Head Over Heels" ou "Losing More Than You've Ever Had", toutes deux assez proches avec un refrain qui aurait pu être superbe... mais ça coince un tout petit peu, mon sourcil droit monte tellement haut qu'il se mêle à ma chevelure...
Pas des mauvais titres, loin de là, ils sont néanmoins un peu frustrants à cause de ces micro-maladresses.

"Fight It Back" possède un super riff pour le refrain, l'autre riff donne à nouveau de la hauteur à mon sourcil droit... re-frustration.

"London Leatherboys" est vraiment sans plus, "Guardian Of The Night" aussi, avec son riff repiqué à "Crazy Train" lors du break...

"Winter Dreams" est une ballade juste sympathique.

Reste le morceau titre, un classique du groupe avec un très bon texte, ainsi que le joli trio composé de "Love Child", "Turn Me On" et "Losers And Winners".

Je trouve par ailleurs que le sieur Hoffmann est un peu fainéant pour le coup.
Pas tout le temps, mais souvent.
Nouvelle frustration lorsqu'on sait de quoi il est capable.

Un album un peu problématique qui obtient un petit 3/5 de ma part.
Ils n'avaient qu'à bosser un peu plus leurs mélodies.
S'il ne se situait pas dans leur âge d'or, j'aurais sans doute mis moins.
Je me laisse volontiers un peu aveugler par ce point.






le 06 Novembre 2014 par USUL


Cela fait plus de vingt ans que j'écoute du Metal, sans jamais avoir goûté à ACCEPT.
Toujours eu l'impression que c'était un groupe de classe B.
Quelle erreur...
J'ai découvert ACCEPT il y a trois semaines, j'ai pris une claque dans la gueule.
Une claque qui vient du passé, presque trente ans...
Je découvre chaque album en hallucinant sur la qualité des productions.
Bordel, c'est du caviar, voilà ce que j'appelle un groupe qui joue carré.
Pas vraiment de virtuosité (sur ce disque en particulier), mais un feeling et une efficacité inhumains.
Dans le genre on peut pas faire mieux, je pense.
Udo est un chanteur incroyable, la version metallique de Brian Johnson.

ACCEPT est au niveau des plus grands, c'est pour moi une évidence, et il ne m'a fallu que quelques écoutes pour le réaliser. Qui pouvait rivaliser avec leur son à l’époque ?

le 04 Mars 2012 par TRACE LA ROUTE


5/5 amplement mérité, l'album d'ACCEPT des années 80 par excellence.

Certains diront que les compositions sont moins puissantes et burnées que celles de "Metal heart" ou bien de "Restless & wild" mais moi je trouve justement que le rythme mid-tempo procure une autre dimension à ce disque, le chant de Udo D. y est même beaucoup plus fluide et moins saccadé limite moins usant pour nos tympans...

D'autre part, cet album est le fer de lance du Heavy Metal de l'époque et la pochette provocante a marqué cette époque et, nous marque toujours autant d'ailleurs!!

Morceaux préférés : "London Leatherboys" - "Head Over Heals" - "Losers And Winners".


Bientôt, "Stalingrad" dans les bacs!!

le 23 Août 2011 par FIFIX


Un an plus tard, ACCEPT, de plus en plus connu, enchaîne avec son cinquième album, moins hard que le précédent, plus "radio-friendly".

Même si la patte du groupe est toujours là, pour ma part, j'adhère peu à cet album. Disons que les chansons sont moins efficaces, moins percutantes. Il y a certes des hymnes, comme la chanson éponyme, mais on est un cran en-dessous de "Restless And Wild".

Note: 3,5/5.

le 31 Décembre 2009 par LARSEN


Problèmes d'érection ? Virilité défaillante ? La solution : "Balls To The Wall" des teutons d'ACCEPT !

J'ai rarement eu l'occasion d'entendre un album qui donne autant envie de baiser, de boire des bières et de les éclater contre les murs en hurlant comme un possédé que cette putain de galette en béton armé, que cet énorme parpaing dans la gueule bourré à ras-bord d'hymnes Heavy Metal imparables (et quand je dis baiser, pas sûr que la malheureuse élue revienne le lendemain). C'est bien simple, depuis que ce disque tourne en boucle dans la caisse, je passe le plus clair de mon temps à rouler à 120 sur les trottoirs en beuglant "Faïïïïïte hite baaaaaque", le doigt levé bien haut par la vitre. Au point de devoir relâcher un peu la pression en partageant mon avis ici avant que mes couilles cocotte-minute déversent sur la banquette de ma ZX du plomb en fusion...

Un son à décheniller un tank, des compos over-burnées à faire passer MANOWAR pour des lopettes efféminées, une voix à te décaper les conduits auditifs pour les 20 ans à venir, ce skeud c'est de la testostérone pure injectée directement dans les yeux pour aller plus vite. Et quand ils décident de jouer la carte de l'émotion, comme sur "Head Over Heels" et ses guitares flamboyantes, ces salauds arrivent à te faire quand même chialer comme un bébé.

Autant je rigolais un peu de la pochette au début, autant je trouve maintenant le choix de ce visuel affligeant d'évidence. Du poil, des muscles, du cuir et des couilles. C'est beau.













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