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Devin Townsend Project
Deconstruction
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le 20 Juillet 2011 par SHIRIU


Deconstruction des morceaux, Deconstruction des ambiances (et heureusement pas du son Devinien), Deconstruction de passages trop courts à mon sens et surtout d'autres trop longs. Deconstruction de mes tympans, Deconstruction de mon mal de crâne, Deconstruction d'éloges que je ne comprends pas. Deconstruction d'un mode de production d'un génie musical. Construction avec des morceaux déconstruits d'une tétralogie somme toute ultime ? Peut être...

le 19 Juillet 2011 par SLAANESHI


J'avoue que ma première écoute, un peu distraite, m'avait laissé perplexe (honte à moi !). Mais à la deuxième, bordel, quel coup de pied au cul !

"Deconstruction" est à l'image de sa pochette : un parc d'attraction loufoque, jouant allègrement sur la surenchère, où le sieur Townsend laisse libre cours à sa folie et ses délires, mais aussi à ses démons qu'il exorcise ici.

On a des déferlantes de violences complètement déconstruites, entrecoupées de coupures calmes quasi-nettes. L'album lui-même est un vrai maelström touffu de détails, de notes, de chœurs. Les textes aussi valent le détour.

Aaah, merci de m'avoir rappelé pourquoi je revendique si ouvertement Devin Townsend comme mon Dieu !

" Oh glorious Cheeseburger, {...} the secrets of the Universe are between the buns."

Rien que d'oser mettre ça comme paroles avec la recette en chœur, ça mérite bien 5.

le 10 Juin 2011 par NORTHMATHR


Malgré la complexité du "machin", j'ai pris un plaisir immense à son écoute dès le début. Pas de rebuts, même si plusieurs écoutes sont absolument nécessaires pour comprendre l’œuvre. Les guests restent généralement en retrait mais apportent leurs touches aux compositions, bien qu'elles soient furtives aux premières écoutes; je m'étais même demandé au début si ce n'était pas une blague la liste des invités, mais au fur et à mesure j'ai réussi à les entre écouter puis à les distinguer du lot. Les compositions sont lourdes et labyrinthiques de par leurs constructions avec des émotions toutes aussi bizarres que jubilatoires. Il a fait quelque chose de gros et gras le Devin sur "Deconstruction", mais on en redemande une fois la galette terminé... et c'est ça le plus important.

le 07 Juin 2011 par RAVENDARK


Excellent album. Une fois de plus, Devin Townsend nous a pondu un album super riche, intense (c'est le moins que l'on puisse dire), vraiment barré sans être super difficile d’accès. Cet album est vraiment l'album de tous les excès et c'est pour notre plus grand plaisir. Dans la parfaite continuité de "Ki" et "Addicted", il démarre de manière "douce" pour ensuite montrer tout son enrobage de violence dès la deuxième (voire troisième) piste. Chaque morceau est excellent, dans son style car chaque pièce contient ses particularités qui les rendent unique et complémentaire. J'ai une petite préférence pour "Juular" et ses couplets vraiment démentiels, "Summera" et ses choeurs tout simplement grandioses et, bien entendu, le complètement tordu "The Mighty Masturbator" avec son beat électro complétement improbable auquel se greffent les growls utlra puissants de Townsend et ses passages épiques (et loufoques) avec sa petite allusion à Ziltoid sur la fin (oui, oui, écoutez bien les paroles xd). Autre morceau qui illustre parfaitement le côté complétement barré et loufoque de cet album est la pièce éponyme qui nous pète littéralement dans les oreilles (xd). En bref, pour moi, un des gros top 5 de l'année (voire top 1 si on fait le combo "Deconstruction/Ghost").

le 07 Juin 2011 par ORDERSPHERE


L'album que j'attendais le plus cette année et je ne suis pas déçu ! Il est excellent sans aucun problème mais ne rappelle pas tant SYL que tout ce que vous lirez ailleurs !
La prod' est étrange mais finalement on s'y fait relativement vite (3 écoutes) ; après, c'est sûr c'est un foutoir sans nom mais c'était prévu ; il avait promis de tourner la page Metal extrême avec un CD complexe et bordélique !
"Ghost" est son parfait complément, en fait l'un ne s'écoute pas vraiment sans l'autre ; à la fin de "Deconstruction", on a besoin de calme et on se tourne alors vers "Ghost" qui pour le coup est tellement reposant qu'une fois terminé, on relance "Deconstruction" pour introduire un peu de chaos dans cette paix quasi-léthargique qui émane de "Ghost" !
Sans problème les 2 albums qui resteront pour moi les 2 gros incontournables de 2011 !













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