Aaaaaah enfin, le nouveau Freedom Call est arrivé.
C'est avec une grande émotion, non dénuée de frayeur que j'achète cette nouvelle gallette, me remémorant l'horreur du -très discutable- Circle Of Life, car bien qu'ayant quelques bons titres (le refrain du morceau éponyme entre autres, miam ^^), cette album est quand même pour moi .... une bonne bouse .... oui, c'est le mot.
J'entame donc l'écoute de ce Dimensions avec la curiosité d'un contrôleur fiscal.
Ca commence mal : il y a une espèce d'intro qui, bien que pas mal fichue, me remémore les inepties de Circle Of Life : des espèces d'effets new wave : oh non, ils recomment ! Bien qu'assez légers cependant, le fait de réentendre ces ... choses ... me fait couler du bromure dans les veines.
Puis j'écoute l'album en entier : mais c'est qu'il passe tout seul le bougre ! J'ai dévoré la galette d'une seule traite, presque sans m'ennuyer (1 ou 2 morceau chiant, mais bon).
La magie est revenue !!! Oui, chevaucheurs de dragons, pourfendeurs de zombies et violeurs d'elfes, on a là un Freedom Call qui revient aux sources de, disons, d'un Stairway To Fairyland.
Mais en moins speed.
Mais toujours plus que Circle Of Life.
Bref, on dirait une sorte de heavy-speed sauce Helloween (années 80), un truc super bien foutu, qui met le sourire aux lèvres, pas d'effets new-wave-dance-techno-metal ce coup là, rien que du bon.
Un grand cru Freedom Call pour moi ! Ma frayeur a disparu, j'ai retrouvé les sensations de Stairway To Fairyland et Crystal Empire, avec des petites touches (structures, petite presence d'humour et d'extravagance -pour du FC ^^- ...) qui me rappellent mes vieux helloween. Je suis comblé.
Je rajoute simplement qu'au bout de 6 écoutes entières, tout passe impeccalbment bien, les morceaux chiant ne le sont plus, et j'ai tous les refrains en tête. Merci Freedom Call, merci.