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Sabaton
The Art Of War
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le 17 Juillet 2008 par GOUNOUMAN


Bonne chronique, car quand je vois les notes qu'ont reçus les autres albums, ça me fait sourire, un tel manque de pertinence... Comment peut-on, au vu de l'extraordinaire qualité de la musique des suédois, ne jamais évaluer leur travail au dessus du maigre 3, qui ferait passer Sabaton pour un groupe de heavy lambda, comme les autres, alors qu'il est tellement plus ! Je n'aime pas du tout passer pour le mécontent de service, mais un tel manque de reconnaissance m'afflige profondément. Enfin, je suppose que le groupe aura toujours des fans ardents pour le défendre... Comme moi ^^

Alors, "The Art of War", en gros, c'est l'album du plus : Plus de clavier, plus de variété (ce qui ne dessert en rien l'album selon moi), plus d'hymnes, plus de puissance, plus de gros son, plus d'émotions ("The Price of a Mile", pour le coup, cher Dark Schneider, je conforte complètement ton avis sur ce titre, qui me file le grand frisson à chaque fois, et le clavier final, rhaaa, que de beauté !!!), bref, même si c'est moins frais et par moment moins "ultime" que Primo Victoria, par exemple, impossible de rester de marbre face à cette débauche de puissance et de virilité !

Sabaton excelle dans ce registre, finalement pas si représenté dans le heavy actuel : le Metal épique oui, héroïque, oui, mais viril, guerrier, inspiré de faits réels, avec un son et une voix aussi personnelle.... Enorme quoi.

Sabaton, selon moi, le plus beau, le plus grand, le plus noble, le plus déjà intouchable nom du heavy Metal actuel. Un très grand album, mon album de l'année, déjà indétrônable.

Merci de m'avoir lu, fans de heavu pur et sublime, n'attendez plus et donnez leur leur chance ! Vous n'aurez pas à le regretter...

le 17 Juillet 2008 par MAX


une fois, ça va, deux fois, ok, quatre fois...je peux plus.

Parce que quand même, ça fait quatre fois (en comptant Metalizer) que Sabaton nous sort la même copie (les mêmes riffs, les mêmes mélodies, les mêmes choeurs), et le style se révélant accrocheur au début, puis relativement répétitif voire saoulant, ben au bout d'un moment, saturation, et le côté un peu frais du groupe commence vraiment à se muer en un carcan rigide fleurant bon l'animal mort.

Pas déplaisant, mais au final transparant et redondant.

Prenez un peu l'air les gars !













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