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Ac/dc
Live
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le 12 Novembre 2009 par LUDOVICO


Premier album live d’AC/DC avec Brian Johnson au chant sobrement intitulé "Live".

Ce double CD composé de 23 morceaux, dont 9 de la période Bon Scott, était déjà un classique l’année de sa sortie en 1992. L’année de sortie constitue, d’ailleurs, un timing parfait et un heureux hasard pour cette formation. A cette époque le Grunge écrasait tout sur son passage et peu de formations de Hard Rock classique parvenaient à s’en sortir. Mais AC/DC en faisait partie, car sa musique est un élément constitutif de ce style. AC/DC est le groupe qui représente le mieux le Hard Rock. De plus, la tournée "Razor’s Edge" était le moment idéal pour sortir un live à ce stade de sa discographie.

Que des classiques sur cet album et Brian Johnson au sommet de ses capacités. Tous les morceaux sont exécutés avec une précision diabolique. Peut-être un poil trop précis pour la batteur, Chris Slade, qui joue de façon un tantinet trop Heavy. La voix de Brian Johnson colle parfaitement sur les morceaux jadis interprétés par Bon Scott.

Les deux morceaux les plus faibles étant "Heatseeker" et "That’s The Way I Wanna Rock’n’Roll", figurant sur l’album "Blow Up Your Video", qui fait partie du ventre mou de leur discographie, paru au milieu des eighties. Il est à noter, d’ailleurs, qu’aucun morceau des albums "Flick On The Switch" et "Fly On The Wall" ne figurent sur ce live. Le groupe a clairement fait les impasses sur les albums qu’il fallait. Peut-être aurait-il pu ôter un des morceaux de "Blow Up Your Video" pour le remplacer par un des titres de "Flick On The Switch". Ce n’est qu’un détail.

Tous ces titres ont été enregistrés sur la tournée 1990-1991 à travers 21 pays. Il est dommage que le groupe ait choisi de marquer une césure entre chaque morceau. Prolonger le son d’ambiance d’un titre à l’autre aurait pu maintenir l’illusion d’un concert unique, mais AC/DC a choisi l’inverse, ce qui a le fâcheux effet de transformer ce live en best-of amélioré.

On lui préfèrera le DVD "Live At Donington", issu de la même tournée, qui comporte moins de titres mais qui a l’avantage de nous montrer qu’un seul et unique concert. De plus, il contient le titre "Hell Ain’t A Bad Place To Be", qui n’est pas présent sur le CD.

le 01 Novembre 2009 par BEHEMOTH


Un monstre sacré du hard tout simplement.
Un double album à mettre au pantheon du hard rock catégorie Live.

Son énorme pour l'époque et on sent bien que malgré son age certain ACDC faut toujours autant bouger .

Et que dire du final énorme qui commence avec "Highway to Hell" des foyers ?

Un des rares album dont on ne se lasse jamais.

le 10 Septembre 2009 par FREDJ


Pfiou quel album live mes aïeux !

Tu veux de l'hymne ? Prends donc un bon vieux "Thunderstruck", un "Back in Black" ou un "Highway to hell" !

Tu veux du rock salement électrique ? "Let There be rock", "Whole Lotta Rosie" et "Sin City" sont là !

Tu veux de la rage ? Mange-toi un bon vieux "Hells Bells", "TNT" ou "Dirty Deeds Done Dirt Cheap" !

Tu trouves que le AssDeath des 80's c'est pas terrible hahaha écoute donc "Heatseeker", "Who Made Who" et "That's the way i wanna rock'n roll" sans headbanguer pour voir !

Non Non désolé je ne vois aucun défaut à cet album (à part l'absence de "Hell Ain't A Bad Place To Be" absolument phénoménal à Donington !)

Et puis que dire de la voix dégueulasse de Jonas qui habille le tout, même s'il est moins mythique que Bon ça reste quand même un satané chanteur dans son genre !

A posséder, écouter, réécouter et même voler s'il le faut !

le 11 Mai 2009 par BRUTALDELUX


Second Live des Kangourous et pas des moindres, le production peut paraître trop aseptisée, mais elle donne un sacré coup de jeune à des titres qui ne sont pas spécialement percutants sur album studio genre « Heatseeker » et « That’s the way… ».
Tous les titres sont surboostés, si certains en subissent les conséquences (« Hells Bells ») d’autre sont vraiment devenus méconnaissables dans le bon sens du terme (la version de « Let There Be Rock » est vraiment rapide).
Ce double live pourrait ressembler à un best of tellement la set list parait imparable, mais il manque toutefois un titre « Hell ain’t a bad place to be » qui pouvait être dispo sur un maxi.

le 08 Février 2009 par LE PREZ


On va faire simple. Si on veut goûter son AC/DC en public, on l'écoute à Sydney en 76, à San Francisco en 77, à Cleveland toujours en 77, à Boston en 78 ou à Towson en 79. Voilà.













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