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Ac/dc
If You Want Blood....
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le 15 Avril 2016 par LE DOC


L'album qui m'a permis, il y a 37 ans, de découvrir le Hard Rock, et qui par conséquent a bouleversé ma vie et fait de cette musique une véritable passion.
Jouissif, cet album devrait être remboursé par la sécurité sociale !

le 28 Août 2014 par THIERRY RAOULT


Pour ma part, je ne mets pas 5/5, mais 4/5.

Le 2ème Live n'est sorti qu'en 1992, soit 14 ans après ce 1er Live. Comme de nombreux fans, jai souvent écouté "If You Want Blood". J'adore cet album.

Cependant, je lui trouve quelques faiblesses.
- Il n'y que 2 titres (sur 10) du dernier album de l'époque ("Powerage"). Par conséquent, il manque un ou deux titres forts de cet album, comme par exemple "Sin City", "Down Payment Blues", "Gone Shootin'" ou "Up To My Neck In You".
-Angus raccourcit son solo final sur "Whole Lotta Rosie" et c'est dommage.
-"Rocker" est réduit à 3 minutes, et on perd le solo final avec la promenade dans le public, comme on peut les avoir dans "Live In London (Golders Green Hippodrome)" (1977), "Let There Be Rock - le film" (1980) et "Live From The Atlantic Studios" (1977). Pour ma part, dans sa version de 6 minutes, je trouve que "Rocker" en live est l'un des meilleurs titres d'AC/DC.

Le reste est très bon:
-L'intro avec "Riff Raff" est fantastique.
-"Bad Boy Boogie" est grandiose. J'ai toujours préféré la version live, plus longue avec le solo central, par rapport au titre studio, trop court.
-"Problem Child" est bon.
-"Whole Lotta Rosie" est bon, mais trop court.
-"High Voltage" et "Let There Be Rock" sont, pour moi, les 2 GRANDS titres de l'album.
-"Rocker", très bien, très rythmé, mais trop court.

Et "Hell Ain't A Bad Place To Be" + "Rock'N'Roll Damnation" ? Je ne suis pas fan de ces titres, que ce soit en live ou en studio.

En résumé, un album indispensable pour découvrir AC/DC en live, plein d'énergie et de ressources.

le 03 Novembre 2013 par RAMON


C'est un fait, quel que soit le style de musique que j'écoute, j'ai un faible pour les enregistrements en public, trafiqués ("Alive!" de KISS) ou pas ("On Your Feet…" de BÖC). Si je ne devais garder qu'un seul album de Jerry Lee LEWIS, ce serait le live au Starclub de 1964, le "Live At Leeds" des WHO est un must absolu, c'est avec "Made In Japan" que j'ai craqué la première fois sur DEEP PURPLE, UFO n'a jamais fait mieux que "Strangers In The Night" et on pourrait ainsi aligner les exemples jusqu'à plus soif.

Avec AC/DC, c'est la même chose : comment prendre réellement la mesure de la décharge d'adrénaline envoyée par le groupe autrement qu'en direct, dans la tronche ?
"Riff Raff", deux syllabes qui résonnent comme autant de baffes, l'aller-retour parfait, plat et revers tout en souplesse, dix marques et cinq phalanges qui s'inscrivent sur les joues de l'auditeur assommé d'entrée de jeu, ça a l'air simple vu d'en haut, mais c'est la marque d'une authentique machine de guerre, d'un rouleau compresseur haut de gamme qui s'inscrit dès l'entame du show.
"Riff Raff" est à AC/DC ce que "Rock'N'Roll" est à LED ZEPPELIN, l'hymne brut qui annonce la couleur : on veut vous mettre à terre et on va le faire !!!

La suite le prouve quand retentit le riff chirurgical de "Hell Ain't A Bad Place To Be" avec cette section rythmique au cordeau, aucune fioriture, le trio guitare/basse/batterie reste d'une sobriété aride et laisse successivement la place au chant frondeur et chaleureux de Bon Scott puis aux élucubrations pentatoniques de la vrai star du gang, l'inénarrable Angus en culottes courtes mais au talent infernal.
Si l'intermède "The Jack" permet de souffler quelque peu histoire de soigner une "chaude pisse" contractée au hasard des rencontres avec des membres de la gente féminine, les potards se remettent dans le rouge avec un "Problem Child" dédié par Bon à son soliste, on s'en serait presque douté…

La fin est une succession de classiques incontournables: "Whole Lotta Rosie", "Rock'N'roll Damnation", "High Voltage", "Let There Be Rock"… Non, vous ne rêvez pas ces gars là sont bien en train de vous marcher dessus comme ils le chanteront sur "Highway To Hell", leur opus à venir.
"Rocker" sonne la charge ultime de l'album, il n'y a eu aucune pitié ce soir-là, il n'y en aura pas non plus après... Pas de prisonniers : "Take No Prisoners"… Tiens, c'était le titre que portait (l'excellent) disque Live de Lou REED sorti en en 1978, également.

le 03 Mai 2011 par RAFF RIFF


Humm, alors là, je viens de le découvrir tardivement, trop tardivement, mais bon sang qu'il est bon ce live !
Un son de rêve, une énergie de fou, je connaissais AC/DC depuis 20 ans mais là c'est encore meilleur ! Je suis passé à coté de ce Live magnifique pendant des années, ne faites pas cette erreur...

Je connais parfaitement le Live de 92, double CD, le DVD, bref la totale, je l'ai adoré pendant des années mais c'est clair que ce dernier souffre de la comparaison avec cette galette-ci !

4 lettres résument le Hard Blues Rock : A C D C

le 25 Juillet 2010 par NEMO


Les mecs jouent à Glasgow ! Imaginez leur motivation alors qu'ils se préparent à entrer sur scène, dans le pays qui les a vu naître, eux, les petits immigrés écossais en Australie. Quelle fierté ! Ils ont réussi et reviennent au pays ! Souvenez-vous de Bon et sa cornemuse sur "It's a long way..." ! Ça y est ? Vous êtes dans l'ambiance ? Maintenant... Écoutez !













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