Très bonne chronique, Julien, mais tu as oublié le plus important: la pochette est bel et bien verte!!!
Et de la même manière que le rouge de "Hate Crew Deathroll" était moins vif que celui de "Something Wild", ce vert-là est plus sale, plus root que celui de "Hatebreeder"... Peut-être une autre façon de marquer cette évolution de la musique que tu décris fort bien, vers quelquechose de plus power/heavy, de plus 'crade' dans le bon sens du terme.
Sinon, pas grand-chose à rajouter: un disque encore plus spontané et inspiré que son prédécesseur, une production énorme, neuf brulôts TOUS prêts à cartonner dans les fosses... Quant à la faible durée de l'ensemble, on leur pardonne une nouvelle fois tant la qualité est au rendez-vous et l'envie systématique de s'en repayer une tranche bien présente.