À voir Osbourne sur scène, déjà à l'époque, ça faisait plus penser à "pépé zinzin" et à l'odeur de pipi de la maison de retraite qu'à l'avenir du Rock.
Le Ozzy qui a inspiré NIRVANA, c'est celui du SABBATH du début des 70s, certainement pas l'homme très diminué du début des années 90, lequel ne faisait (déjà !) plus qu'illusion en studio.
C'est le cas sur cet album, qui n'est pas mauvais en soi, mais qui n'existerait pas tel quel sans les bidouillages habituels en studio. Un maquillage à la truelle pour cacher la misère et la décrépitude d'un artiste usé par les excès et qui n'était (déjà !) plus que l'ombre de lui même.