Quelle lourdeur magistrale, quelle voix ce Glenn, tout cela est bien amené, très bien composé, produit tout à fait correctement(Rick Rubin), sans fioriture et fait sonner ce disque hors du temps et des modes.
Alors certes, la première partie de l'album (les 5 premiers titres) est supérieur à la seconde (cf "Sistinas" étrange insert dans ce skeud homogène jusque là) mais là s'arrête le bémol parce qu'avec une pochette qui n'est autre qu'un dessin de 1976 de monsieur Giger, un titre éponyme absolument fabuleux, cette ambiance unique et ces morceaux aux styles variés mais qui forment quand même au final une unité musical tout à fait étonnante, ce "Danzig III" est une perle que j'écoute régulièrement avec plaisir.
