Sans être un chef-d'oeuvre, ce petit bijou peut se targuer de nous faire entrer dans un conte d'épouvante après un seul titre. Blackheim n'a pas son pareil pour créer des atmosphères uniques. Merde, quel artiste quand même!
Maintenant que j'ai écouté les trois premiers albums de DM, je peux différencier ces trois perles. Le premier est noir au possible, avec des touches de heavy au passage, le deuxième est un ovni tant il est profond et mystérieux, et le troisième est tellement immense qu'il est indescriptible (Blackheim connaissait la signification du terme «variété»). Tout ce que ce mec a touché s'est transformé en or pur, c'est pas des farces...
À écouter en boucle, mes amis. Une pointure du grattage Black, du chant de corneille infernale et des claviers malfaisants. Un must pour tout amateur qui aime le bon avec un grand B.