Le maître incontesté et incontestable de l'aller retour frappe une nouvelle fois avec un album aux allures progressives, mais sans tomber dans la pseudo richesse de composition qu'appliquent certains groupes instrumentaux.
Ici, la richesse de composition est réelle, tout est excellement bien placé, aucune "expérimentation" inutile.
De belles ambiances, une heure de musique qui s'achève par l'une des partitas pour violon seul de JS Bach, qui clos d'une bien belle manière cet album.
Je retiens tout particulièrement les morceaux Donkey's Island, Tethys et Avalonia, même si le reste est d'excellente facture.
Un album qui n'a rien à envier (si ce n'est le nombre d'albums vendus) à ceux d'autres shredders plus connus comme Joe Satriani ou Steve vai.