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Judas Priest
Painkiller

le 12 Juillet 2005 par PUMPKINSTEF


Complètement d'accord avec la chronique (bien qu'un peu courte, ma foi, un tel album mériterait plus d'égard, il me semble). Voilà, J'ai pas été trop long là? Non? ah, tant mieux, j'ai eu peur...

Par Nightfall In Metal Earth


salut,
en effet, ces chroniques les plus anciennes du site (écrites en 1999) sont courtes par rapport à celles d'aujourd'hui et sont concernées par la vague de réécritures initié l'an dernier.
Maiden étant presque bouclé, Powersylv va s'attaquer prochainement aux chroniques de Judas Priest. suivront ensuite Metallica, Megadeth, Kiss et Paradise Lost en ce qui le concerne.

Amicalement,


le 07 Mars 2005 par AXEL


Perfection. Voilà le mot qui me vient à l’esprit lorsqu’il s’agit de Painkiller. Voici l’album ultime et définitif de ce qu’est le pur heavy metal. 15 ans qu’il est sorti et jamais on a reussi à faire ni aussi bien ni mieux dans le genre ; LA référence. C’est énorme, beau, puissant, propre, démoniaque, émouvant, violent, mystérieux, terrifiant, jouissif, humain. Certains diront que c’est too much, mais le heavy metal justement est too much et cet album n’est pas too much too much.^^ Mon Dieu que cet album est grandiose, un pur chef d’œuvre par les dieux du heavy metal. Et cette intro à la batterie ! Après 15 ans elle me trotte toujours dans la tête, quel tueur ce Scott Travis ; cet album ne pouvait mieux démarrer. Et le Metal God, jamais il n’a aussi bien chanté, putain cette voix, c’est possible ? Et puis y a ces guitares qui pleurent, qui hurlent, qui explosent, les mélodies sont superbes, les riffs parfaits et saignants, les solis complètement dingues et époustouflants, certains sont aussi très beaux. Sûrement aussi le meilleur album de Downing/Tipton concernant l’inspiration et le travail des guitares. Puis y a cette production, hors du temps, et là aussi rien à reprocher, elle est signée par le grand Chris Tsangaridès, qui avait déjà d’ailleurs produit le culte Sad Wings Of Destiny. Il y a aussi quelque chose de magique dans cet album, et la production n’y est pas pour rien. Les textes sont super bien écrits, on peut reprocher à ce genre d’être ridicule, mais merde que c’est bien écrit et merde encore que ça fait voyager dans la tête. Cet album n’a aucune faiblesse, bien sûr ensuite c’est une histoire de goût, non mais vraiment il est pour le genre parfait, c’est pas possible de passer à coté quand on aime vraiment le metal et quand on est mélomane. N’oublions pas que les gars qui ont accompli cette grande performance avait ~40 ans à l’époque. Je rajouterai que personnellement Night Crawler et A Touch Of Evil sont mes 2 chansons préférées de tout leur repertoire, elles sont vraiment ensorcelantes, magnifiques, démoniaques, terrifiantes et Touch est vraiment chargée en émotion, vraiment magnifique. Pour finir je dirais juste : Painkiller « you’re possessing me ! »

le 21 Février 2005 par CHIPSTOUILLE


Un album bien...
Mais juste bien, pas génial!
Je trouve comme David que le coté double pédale à fond est fatiguant sur la longueur...L'album se veut péchu, et finalement, en tant qu'auditeur, on s'essoufle rapidement ;)

Bien évidement, il contient sont lot de hits incontournables...Mais sur la longueur c'est usant...

le 08 Mai 2004 par METAL FAB


Heavy ? Vous avez dit Heavy ? Avec cette galette, Rob et ses amis (ben vi, il les a retrouvé l'été dernier) nous rappellent (et montrent peut être à certains) ce qu'est le Heavy Metal, le VRAI ! "Painkiller" est pour moi (ainsi que pour beaucoup) le meilleur album sur lequel Rob ait jamais chanté. La paire Glenn Tipton et KK Downing y est aussi pour beaucoup (comme toujours).

Quant aux titres ! Y a pas de mots pour les qualifier tant ils pètent. Ce Scott Travis, quel homme ! Eh dire que ce fût le premier album du prêtre que j'ai acheté et depuis ce temps là, les "Touch of Evil", "Painkiller, "Nightcrawler", et.....(tant qu'on y est, disons tout l'album), je ne m'en lasse pas. Espérons que la prochette galette de nos grands prêtres du Heavy Metal sera aussi grandiose que Painkiller !

le 03 Mars 2004 par DAVID


Petite précision tout de même à propos de Dave Holland : ce n'est pas le groupe qui l'a viré, mais c'est lui qui est parti. Le trip bourrin double pédale à fond ne l'a jamais intéressé, lui avait un feeling plus rock 'n' roll. Et il a bien fait de s'en aller, il ne pouvait pas suivre avec les sonorités thrash de Painkiller.
Painkiller est loin d'être le chef-d'oeuvre du siècle, certains titres quelconques ressassent même les pires clichés du heavy metal : avec les refrains de All guns blazing et Metal Meltdown, on frise la caricature, sans parler de certaines intros "flippantes" comme celles de Between the hammer and the anvil, parfaites pour la BO de Spinal Tap.

Painkiller, le classique absolu, jamais accroché à ce déluge d'agressivité, entre les vocaux inhumains de Rob Halford, les riffs thrashisés et la double pédale à fond... bof !
Heureusement, y'a quand même des mélodies sur certains titres, les plus heavy, les moins modernes (donc les meilleurs) : Hell Patrol, Leather Rebel, Night Crawler, A Touch of evil et le meilleur pour la fin avec One shot at glory (harmonies sublimes sur cette dernière). Bref, Painkiller sonne le glas pour Judas Priest et on pouvait déjà sentir que toute la troupe irait droit dans le mur après, vers un style encore plus agressif : Rob Halford avec Fight et Judas avec Jugulator.













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