Des baggies, des tatouages et du sexe : c'est les principaux ingrédients de CRAZY TOWN. Comme le dit la chronique, un album fourre-tout avec surtout beaucoup de Rap Metal à la LIMP BIZKIT mais aussi une louche d'Indus, une louche de RED HOT ("Butterfly" ou encore ce "Lollipop Porn" avec son ambiance P-Funk de bac à sable). C'est générique, ça manque cruellement de consistance et ce n'est quand même pas terrible.