 |
|
Moyenne établie
sur la base de
13 commentaires notés [?]
Rage Against The Machine
The Battle Of Los Angeles
| |
|
|
le 15 Juillet 2022 par FRED
RATM nous assène une nouvelle fois son Rock énervant pseudo rebelle, la fraîcheur du premier album en moins. Tout ici semble calibré, exagéré, forcé.
Par ailleurs, espérons que personne n'aura la mauvaise idée de voler sa pédale Whammy au guitariste, car toute sa "technique" semble se résumer à l'utilisation de cet effet, et ce dès les premières secondes du disque... le tout saupoudré d'un petit peu de Delay et de Wah-Wah, histoire de cacher la misère technique : tout un symbole de l'inanité du groupe. Imposteurs ?
Zack De La Rocha est quant à lui insupportable au bout de quinze secondes, et les "compositions", basées sur 1/2 riffs grossiers, ne vont le plus souvent nulle part. Une belle arnaque soit disant anti système, mais signée par Epic Records-Sony BMG ! Top crédibilité !
|
|
|
|
|
le 11 Juillet 2022 par BLUEMASK
Le meilleur de RATM !
Bien entendu, il est moins connu que le fédérateur et excellent éponyme qui est devenu un album générationnel, mais musicalement parlant, il est encore meilleur.
|
|
|
|
|
le 02 Juillet 2018 par LORDI2
un disque de qualité moyenne. rien de bien transcendant ! Mes préférences : "Guerilla Radio", "Mic Check", "Born Of A Broken Man", "Maria", "New Millennium Homes", 2/5 !
|
|
|
|
|
le 06 Novembre 2015 par ADRI
Après la castastrophe, que dis-je, la supercherie, la mascarade, la vaste blague "Evil Empire", RATM se ressaisit et nous balance un album de très bonne qualité. Pour aller vite, je vais simplifier en disant que toute la première moitié de l'album défonce. Même si "Sleep Now In the Fire" est un peu en-dessous à mon goût, il est tout de même bon, ça fait déjà 6 titres sur 12 au top. Ouf, on est sauvés.
Ensuite, ça se gâte. "Born As Ghosts" et "New Millennium Homes" sont assez banales si j'ose dire, et pour la suite, même si les excentricités Tom Morello sont souvent innovantes et jouissives, elles peuvent être aussi insupportables : les couplets de "Maria", "Voice Of The Voiceless" donnent mal à la tête, mais vraiment. Et pourtant, ces morceaux ne sont pas totalement à chier car ils bénéficient de refrains ultra efficaces. "Ashes In The Fall" me fait globalement saigner des oreilles, à part la partie vers la fin, où le riff d'intro est joué de façon "normale" et pas avec ces sons suraigus et chiants. Mêmes défauts pour "War Within A Breath" qui a pourtant un énorme final. En gros, la deuxième moitié de l'album est en dents de scie, du très bon et du très chiant ensemble, où les deux se côtoient dans un même morceau, ce qui fait qu'on ne peut pas les zapper.
Donc, si je résume, une première moitié immense, l'autre un peu moins car ce qui passe est excellent, mais reste plombé par les défauts que j'ai évoqué. En cela, l'album est donc très bon. Il est même plus varié que l'éponyme, mais pas aussi grandiose, faut pas exagérer ! On va donc dire... 3,75/5 (15/50 quoi) arrondi à 4/5 parce que, d'une part, "Mic Check" quoi ! Et d'autre part "Guerilla Radio" (Oui Fenryl, je me revois faire décoller l'hélicoptère en slidant sur ses pales.
|
|
|
|
|
le 30 Janvier 2014 par KINGKILLING
Contrairement à une quantité impressionnante de personnes, le premier album éponyme de RAGE AGAINST THE MACHINE n'est pas mon album favori du combo. Non, mon cœur bat plutôt vers "The Battle Of Los Angeles", sorti en 1999 et finissant en beauté une décennie explosive musicalement parlant (et ça dans tous les genres musicaux, sans exception).
"The Battle Of Los Angeles" est un condensé des deux premiers albums. On retrouve l'agressivité et la colère de l'éponyme et le côté plus expérimental de "Evil Empire" (en particulier, sur la face B). Même si l'album souffre, comme son aîné, d'un ventre mou orchestré par les sympathiques mais pas indispensables "Maria" et "Voice Of The Voiceless", il arrive à faire décoller ses auditeurs par une ribambelle de titres imparables, d'une puissance décoiffante. Je pense aux six premiers titres, un enchaînement quasi divin où RAGE AGAINST THE MACHINE assure aussi bien sur la musique qu'avec les paroles (encore plus engagées... et ce n'est pas un tort !).
Comme à leur habitude, le quatuor propose un travail ébouriffant de maîtrise. Notons en particulier les gimmicks de Tom Morello, alors à son apogée ("Ashes In The Fall"), bouffe-toi ça !) et la basse vrombissante d'un Timmy Commerford particulièrement groovy. Concernant, le mythique Zack De La Rocha, le bougre ne hurle pas comme à la bonne époque de l'éponyme. Pourtant, son chant est à son paroxysme (lui aussi), parfaitement nuancé et alternant les phrasés rappées et les lignes plus calmes (et hurlées).
"The Battle Of Los Angeles" est donc mon chouchou. Un album d'une puissance phénoménale, très riche et d'une fluidité magique (sauf ce fichu ventre-mou).
Mention spéciale aux paroles, j'adhère !
|
|
|
|
| |
