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A Pale Horse Named Death
And Hell Will Follow Me
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le 01 Août 2014 par LE RôDEUR


Suivant les conseils de GRONIBAR, j'ai joué l'anus artificiel de mon grand-père au PMU. Hélas pour Pépé, j'ai misé gagnant / placé sur ce FALOT CHEVAL NOMME MORT qui ne m'a rien rapporté du tout. Après avoir tenté vainement de calquer son début de course sur des concurrents plus sérieux, les valeureux TYPE O NEGATIVE (casaque verte) et ALICE IN CHAINS (un cheval à trois pattes), notre outsider gothico-mou s'est rapidement épuisé, puis s'est mis à faire du surplace pour finalement s'arrêter complètement à mi-parcours afin d'entamer une dépression en pleine piste. Lamentable ! Plus tard, lorsque des tests ADN réalisés en Angleterre ont révélé la présence de cheval dans des barquettes de lasagne, j'ai secrètement espéré que notre ami le canasson névropathe aurait fini sa carrière dans un hachoir à viande. Il n'en a rien été. Des témoins l'ont vu commettre un deuxième forfait depuis, paraît-il encore plus tourné vers ALICE IN CHAINS, ce que je ne suis pas aller vérifier car, pour mon compte, je n'ai pas d'autre anus à perdre et mon histoire d'amour avec A PALE HORSE NAMED DEATH s'est arrêtée là.

Bref, trêve de métaphore hippique à la noix, cet album n'est pas bon. Cela pompe allègrement la musique de Peter Steele et les lignes mélodiques de Layne Staley (pas con ! Ils ne risquent plus de se plaindre !) sans le charisme, évidemment, et le talent en moins. Et lorsque A PALE HORSE NAMED DEATH ne copie pas sur ses voisins, il se copie lui-même, nous resservant notamment deux fois dans le disque le morceau "Heroïn Train" en changeant les paroles, un rythme et trois grilles d'accord.

Tout cela se voudrait sombre et beau mais, quelque soit le degré de sincérité de l'entreprise, le résultat est à peu près aussi enthousiasmant qu'un dimanche de pluie, soit un sous-sous-"World Coming Down" mollasson aux lignes vocales atones et aux guitares indigentes.

Histoire de ne pas passer pour un indécrottable "hater", on pourra bien essayer de sauver deux ou trois bricoles moins médiocres que le reste : "Cracks in the Walls" est peut être la meilleure pièce du CD malgré des influences voyantes (une résurgence de "I Want You (She's So Heavy)" des BEATLES et de "Paint It Black"des STONES). "Bad Dreams" est un instrumental Electro assez répétitif et insignifiant mais possède l'avantage de casser l'ambiance terne et répétitive du disque. "When Crows Descend Upon You", plus popisante, n'est pas trop nulle et le traînant "Die Alone" pourrait, à la limite, constituer une face B pour TYPE O NEGATIVE.

Ça fait pas bézef.

le 06 Janvier 2012 par RIKKIT


Un vraiment bel hommage à Layne Staley et Peter Steele. Sincèrement cet album vaut le détour, et malgré le message dépressif que veulent transmettre les musiciens, on se retrouve avec un album contenant un peu de lumière, sans doute pas "optimiste", mais un poil lumineux, toujours est-il que un "Dirt" ou un "Facelift" déprimera plus que "And Hell Will Follow Me".

Un seul défaut qui m'empêche de mettre une note maximale aux New Yorkais, les compositions manquent vraiment de soli, il y en a, mais vraiment trop peu, gâchant un feeling bluesy pourtant bien présent mais pas assez mis en exergue.













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