L'album "ultime" en quelque sorte...l'album où Kreator pousse au maximum sa formule thrash-burné-mais-avec-finesse élaboré sur les 2 précédents.
En effet, les passages mélodiques abondent (l'intro acoustique de "When the sun...", le second solo d'"Agents of brutality" ou encore l'intégralité de "People of the lie", pas thrash une seule seconde).
Mais le groupe n'oublie pas pour autant de tabasser tout ce qui bouge à coup de thrasheries burnées (le morceau-titre, les fulgurants "World beyond" et "Twisted urges").
Niveau textes, Petrozza continue à balancer sévère (écologie, pédophilie et politique).
Bref, un album-somme (à l'époque)...Profitez-en, car il faudra attendre 10 ans (et "Violent Revolution") pour que le groupe revienne au genre !