A la base je ne suis pas fan de l'Indus et de l'électro, donc a priori cet album n'est pas fait pour moi et pourtant il tourne en boucle depuis la date de parution de la chronique.
Sans cette chronique, je n'y serais pas allée car oui je connaissais SAMAEL, mais de nom seulement. Contrairement à beaucoup, je ne suis pas tombée dans la marmite du Metal à la naissance ou à l'adolescence. Qu'est-ce que j'en ai perdu du temps !
Imaginez : depuis quelques années je me prends toutes les discographies dans la figure, alors mon ressenti n'est pas le même car je n'ai pas connu les périodes de manque entre tel ou tel album par exemple.
Un grand merci à Anima, car sans ton partage d'émotion et de sentiment, je serais passée à côté. Ta passion a été communicative avec moi en tout cas, et je ne parle qu'en mon nom. Je ne représente pas le Syndicat des Commentateurs Zélés !
Il me reste à écouter tout ce qu'il y avait avant et après "Passage" pour mieux comprendre l'évolution du groupe.
Tout me plaît dans cet album : les ambiances très variées (oppressantes, menaçantes, planantes et j'en passe).
Mon esprit a complètement divagué : sur "Jupiterian Vibe", je me voyais jongler dans l'espace avec Jupiter dans la main droite et la Lune dans la gauche... j'ai vraiment été très loin sur ce coup là j'avoue.
Les titres qui me plaisent le plus sont pour moi: "Rain", "Angel's Decay" ou encore "Moonskin".
Pour information, le jour même où j'ai lu cette chronique j'ai vu passer sur Facebook que SAMAEL avait prévu de faire une tournée européenne pour les 25 ans de la sortie de l'album avec notamment trois dates en France, en octobre 2021 si tout va bien.